Shigofumi
Informations
(Source : Anime-Kun)
Format : Série TV
Année : 2008
Titre original : Shigofumi : ~Stories of Last Letter~
Nombre d'épisodes : 12 + 1 Oav de 25 mins
Genre : Fantastique & Mythe
Type : Seinen
Site officiel : http://www.shigofumi.com
Studio d'animation : J.C. Staff
Production : Bandai Visual, Genco
Réalisation : Satô Tatsuo
Chara-design : Kawakami Tetsuya
Chara-design original : Kuroboshi Kôhaku
Auteur : Amamiya Ryô
Musique : Nanase Hikaru
Diffuseur : BS11 Digital, Chiba TV, Gifu Broadcasting, KBS Kyoto,
Mie TV, Sun TV, Tokyo MX TV, TV Kanagawa, TV Saitama
Composition de la série : Ôkouchi Ichirô, Sakurabi Katsushi
Synopsis
(Source : Anime-Kun)
Quelques images
____
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____
Personnages principaux
Fumika
(voix : Kana Ueda)
Fumika travaille comme messagère de l'au-delà, livrant ce qui est connu comme Shigofumi aux habitants d'une ville dont elle a été assignée. Ces Shigofumi sont des lettres écrites par des personnes récemment décédées, et c'est le travail de Fumika de livrer ces lettres de défunt à quiconque voudrait les transmettre. Fumika est une personne toujours calme, parlant d'une voix basse et monotone, et utilisant le terme boku lorsqu'elle parle d'elle-même. Elle prend très au sérieux son travail et effectue ses tâches à la perfection. Néanmoins, elle n'aime pas que des gens normaux interfèrent dans son travail, et a parfois recours à la violence ou à la menacer pour le terminer.
Kanaka
(voix : Yuki Matsuoka)
Un bâton à l'intelligence artificielle que porte Fumika. Kanaka est la partenaire de Fumika, elle a une voix féminine et forte, avec une personnalité joyeuse et agitée. Elle donne souvent son opinion pendant le travail mais cela n'affecte en rien Fumika. Toutefois, elle fait aussi de grosses gaffes mais heureusement que Fumika est là !
Chiaki
(voix : Masumi Asano)
Messagère comme Fumika, mais assignée à une ville différente, Chiaki a une personnalité vive et espiègle, aimant exprimer ses émotions sans retenue. Elle n'est habituellement pas aussi sérieuse que Fumika concernant son travail, et si un travail demande trop de difficulté, elle laissera généralement tomber.
Matoma
(voix : Masayuki Katō)
Matoma est le bâton et partenaire de Chiaki, ayant une voix masculine et parlant d'un ton monotone. Il travaille beaucoup plus sérieusement que Kanaka, se disputant souvent tous les deux lorsqu'ils se rencontrent.
Mon avis
Informations
(Source : Anime-Kun)
Format : Série TV
Année : 2008
Titre original : Shigofumi : ~Stories of Last Letter~
Nombre d'épisodes : 12 + 1 Oav de 25 mins
Genre : Fantastique & Mythe
Type : Seinen
Site officiel : http://www.shigofumi.com
Studio d'animation : J.C. Staff
Production : Bandai Visual, Genco
Réalisation : Satô Tatsuo
Chara-design : Kawakami Tetsuya
Chara-design original : Kuroboshi Kôhaku
Auteur : Amamiya Ryô
Musique : Nanase Hikaru
Diffuseur : BS11 Digital, Chiba TV, Gifu Broadcasting, KBS Kyoto,
Mie TV, Sun TV, Tokyo MX TV, TV Kanagawa, TV Saitama
Composition de la série : Ôkouchi Ichirô, Sakurabi Katsushi
Synopsis
(Source : Anime-Kun)
Citation :Lorsqu'une personne vient de mourir, elle obtient le droit d'envoyer une dernière lettre à la personne de son choix. Fumika fait partie de ceux à qui revient la charge de remettre ces lettres aux destinataires : lettres d'accusation, lettres d'amour, de pardon, tous les cas se présentent pour ces postiers de l'au-delà.
Cependant Fumika n'est pas une messagère comme les autres, elle semble attendre quelque chose et porter en elle un lourd secret.
Quelques images
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Personnages principaux
Fumika
(voix : Kana Ueda)
Fumika travaille comme messagère de l'au-delà, livrant ce qui est connu comme Shigofumi aux habitants d'une ville dont elle a été assignée. Ces Shigofumi sont des lettres écrites par des personnes récemment décédées, et c'est le travail de Fumika de livrer ces lettres de défunt à quiconque voudrait les transmettre. Fumika est une personne toujours calme, parlant d'une voix basse et monotone, et utilisant le terme boku lorsqu'elle parle d'elle-même. Elle prend très au sérieux son travail et effectue ses tâches à la perfection. Néanmoins, elle n'aime pas que des gens normaux interfèrent dans son travail, et a parfois recours à la violence ou à la menacer pour le terminer.
Kanaka
(voix : Yuki Matsuoka)
Un bâton à l'intelligence artificielle que porte Fumika. Kanaka est la partenaire de Fumika, elle a une voix féminine et forte, avec une personnalité joyeuse et agitée. Elle donne souvent son opinion pendant le travail mais cela n'affecte en rien Fumika. Toutefois, elle fait aussi de grosses gaffes mais heureusement que Fumika est là !
Chiaki
(voix : Masumi Asano)
Messagère comme Fumika, mais assignée à une ville différente, Chiaki a une personnalité vive et espiègle, aimant exprimer ses émotions sans retenue. Elle n'est habituellement pas aussi sérieuse que Fumika concernant son travail, et si un travail demande trop de difficulté, elle laissera généralement tomber.
Matoma
(voix : Masayuki Katō)
Matoma est le bâton et partenaire de Chiaki, ayant une voix masculine et parlant d'un ton monotone. Il travaille beaucoup plus sérieusement que Kanaka, se disputant souvent tous les deux lorsqu'ils se rencontrent.
Mon avis
Shigofumi, un animé mystérieux narrant une légende urbaine moderne, fort original, et qui m'a fortement ému et marqué par ses petites histoires.
Tout d'abord par son ambiance plus qu'étrange, mystique, voir dérangeant par moment, tournant autour du thème de la mort avec une pincée de fantastique. La mort qui est présente tout au long de l'animé, généralement déclenché par le décès d'une personne, puis suivi par l'arrivée inéluctable d'une lettre venue de l'au-delà. Les épisodes nous sont présentés par une atmosphère morose peinte avec des couleurs froides et pastels s'accordant parfaitement avec le ton de l'animé, mais aussi par un doux et merveilleux Ost joué au piano et violon, sachant se faire discret mais aussi présent lorsqu'il le faut.
Comme vous vous en doutez l'Ost m'a bien plu, notamment à cause de ces 5 musiques ! Nous donnant alors un sentiment d'irréel, voir illusoire pendant le visionnage. Un rêve, c'est justement ce que j'ai ressenti pendant les scènes de flashblack soigneusement intégrées dans les épisodes avec un rendu visuel assez troublant, comme si on regardait le passé à travers les yeux d'une autre personne. Tout ce beau mélange accentue considérablement l'immersion, par conséquent, on a une ambiance qui est donc un des points forts de Shigofumi.
Ensuite j'ai été marqué par les personnages qu'ils soient principaux ou secondaires, qu'ils apparaissent dans un seul épisode ou tout au long de l'animé. Des personnages intéressants dont la psychologie est détaillée ni trop ni pas assez, juste comme il faut, si bien qu'on s'attache sacrément aux personnages le temps d'une histoire ou d'un épisode. L'exemple le plus simple serait le personnage de Ayase de la première histoire dont on ne peut qu'éprouver que de la compassion, se déroulant sur deux épisodes que je conseille fortement de visionner l'un après l'autre d'une traite. Enfin, cet animé serait aussi bien triste si nous n'avions pas le personnage de Kanaka formant un formidable duo avec Fumika, la première surexcitée et joyeuse contrastant admirablement avec la seconde dans le genre "t'es même pas drôle" (lol), donnant alors lieu à des dialogues et des situations comiques qu'on accueille avec grand plaisir. Une fine pointe d'humour nous changeant les idées quelques instants de l'univers assez pesant de l'animé. En tout cas, merci à la seiyuu de Kanaka pour ce joli doublage, qui n'est autre que Yuki Matsuoka, ayant notamment doublé Orihime dans l'animé Bleach (2004).
On finit par le déroulement de l'animé, qui se présente généralement sous la forme d'une histoire par épisode. Des histoires réalistes et biens scénarisées, dont la narration pourrait se définir par l'expression "le calme avant la tempête", avec des petits indices dissimulés par-ci par-là, demandant l'attention du spectateur à chaque instant. Toujours avec un rebondissement à chaque épisode lorsqu'on s'y attend le moins, certes court mais si intense et savoureux, nous rappelant amèrement que le vrai plaisir n'est qu'éphémère, courte comme la vie, et qu'il faut en profiter au maximum à chaque instant. Puis suivi par des fins d'épisode accompagnées d'un ending Chain, pas vraiment extraordinaire mais dont la douce musique nous donne un sentiment d'apaisement, comme si on nous protégeait après tant d'émotions, très plaisant. Quant à l'opening Kotodama avec sa musique que je n'ai pas du tout aimé, je l'ai trouvé trop contrasté par rapport à l'animé, on se demande même qu'est-ce que ça fait là ? Une maladresse ? Enfin, je dirais que la seconde moitié de l'animé pourrait en décevoir certains, l'animé évoluant au fur et à mesure avec l'apparition de quelques épisodes se concentrant beaucoup plus sur l'histoire principale, au détriment de quelques éléments qui faisaient la force de la série, ce défaut est sans doute dû au nombre limité d'épisodes. Personnellement, je pense que ce format en 12 épisodes est aussi une bénédiction, nous donnant des histoires rapides, travaillées et intenses, tout en nous évitant des épisodes "inutiles" me rappelant un certain Jigoku Shôjo (2005), qui m'avait justement déplu par cet aspect et donc par sa longueur. En fait, il faudrait presque considérer ces épisodes comme des Oav, et donc avec les atouts et défauts de ce support. Notons justement que l'animé est complété par un Oav, un épisode 13 bonus qui s'ajoute parfaitement à la fin de l'animé, n'étant absolument pas superflu.
Bref, Shigofumi est pour moi une petite perle rare comme on n'en trouve plus beaucoup aujourd'hui. Malgré le fait qu'on peut lui reprocher d'être court, chaque épisode est utilisé de manière remarquable et intense, si bien qu'on peut se demander ce que cela aurait pu donner avec un format en 24 ou 26 épisodes, s'il avait gardé la même intensité. Mais ça, on ne le saura jamais... Shigofumi, un animé original et émouvant que je recommande de voir au moins une fois dans sa vie, émotions garanties !
Tout d'abord par son ambiance plus qu'étrange, mystique, voir dérangeant par moment, tournant autour du thème de la mort avec une pincée de fantastique. La mort qui est présente tout au long de l'animé, généralement déclenché par le décès d'une personne, puis suivi par l'arrivée inéluctable d'une lettre venue de l'au-delà. Les épisodes nous sont présentés par une atmosphère morose peinte avec des couleurs froides et pastels s'accordant parfaitement avec le ton de l'animé, mais aussi par un doux et merveilleux Ost joué au piano et violon, sachant se faire discret mais aussi présent lorsqu'il le faut.
Les musiques qui m'ont marqué, en détail : :
Comme vous vous en doutez l'Ost m'a bien plu, notamment à cause de ces 5 musiques ! Nous donnant alors un sentiment d'irréel, voir illusoire pendant le visionnage. Un rêve, c'est justement ce que j'ai ressenti pendant les scènes de flashblack soigneusement intégrées dans les épisodes avec un rendu visuel assez troublant, comme si on regardait le passé à travers les yeux d'une autre personne. Tout ce beau mélange accentue considérablement l'immersion, par conséquent, on a une ambiance qui est donc un des points forts de Shigofumi.
Ensuite j'ai été marqué par les personnages qu'ils soient principaux ou secondaires, qu'ils apparaissent dans un seul épisode ou tout au long de l'animé. Des personnages intéressants dont la psychologie est détaillée ni trop ni pas assez, juste comme il faut, si bien qu'on s'attache sacrément aux personnages le temps d'une histoire ou d'un épisode. L'exemple le plus simple serait le personnage de Ayase de la première histoire dont on ne peut qu'éprouver que de la compassion, se déroulant sur deux épisodes que je conseille fortement de visionner l'un après l'autre d'une traite. Enfin, cet animé serait aussi bien triste si nous n'avions pas le personnage de Kanaka formant un formidable duo avec Fumika, la première surexcitée et joyeuse contrastant admirablement avec la seconde dans le genre "t'es même pas drôle" (lol), donnant alors lieu à des dialogues et des situations comiques qu'on accueille avec grand plaisir. Une fine pointe d'humour nous changeant les idées quelques instants de l'univers assez pesant de l'animé. En tout cas, merci à la seiyuu de Kanaka pour ce joli doublage, qui n'est autre que Yuki Matsuoka, ayant notamment doublé Orihime dans l'animé Bleach (2004).
On finit par le déroulement de l'animé, qui se présente généralement sous la forme d'une histoire par épisode. Des histoires réalistes et biens scénarisées, dont la narration pourrait se définir par l'expression "le calme avant la tempête", avec des petits indices dissimulés par-ci par-là, demandant l'attention du spectateur à chaque instant. Toujours avec un rebondissement à chaque épisode lorsqu'on s'y attend le moins, certes court mais si intense et savoureux, nous rappelant amèrement que le vrai plaisir n'est qu'éphémère, courte comme la vie, et qu'il faut en profiter au maximum à chaque instant. Puis suivi par des fins d'épisode accompagnées d'un ending Chain, pas vraiment extraordinaire mais dont la douce musique nous donne un sentiment d'apaisement, comme si on nous protégeait après tant d'émotions, très plaisant. Quant à l'opening Kotodama avec sa musique que je n'ai pas du tout aimé, je l'ai trouvé trop contrasté par rapport à l'animé, on se demande même qu'est-ce que ça fait là ? Une maladresse ? Enfin, je dirais que la seconde moitié de l'animé pourrait en décevoir certains, l'animé évoluant au fur et à mesure avec l'apparition de quelques épisodes se concentrant beaucoup plus sur l'histoire principale, au détriment de quelques éléments qui faisaient la force de la série, ce défaut est sans doute dû au nombre limité d'épisodes. Personnellement, je pense que ce format en 12 épisodes est aussi une bénédiction, nous donnant des histoires rapides, travaillées et intenses, tout en nous évitant des épisodes "inutiles" me rappelant un certain Jigoku Shôjo (2005), qui m'avait justement déplu par cet aspect et donc par sa longueur. En fait, il faudrait presque considérer ces épisodes comme des Oav, et donc avec les atouts et défauts de ce support. Notons justement que l'animé est complété par un Oav, un épisode 13 bonus qui s'ajoute parfaitement à la fin de l'animé, n'étant absolument pas superflu.
Bref, Shigofumi est pour moi une petite perle rare comme on n'en trouve plus beaucoup aujourd'hui. Malgré le fait qu'on peut lui reprocher d'être court, chaque épisode est utilisé de manière remarquable et intense, si bien qu'on peut se demander ce que cela aurait pu donner avec un format en 24 ou 26 épisodes, s'il avait gardé la même intensité. Mais ça, on ne le saura jamais... Shigofumi, un animé original et émouvant que je recommande de voir au moins une fois dans sa vie, émotions garanties !
Pour finir, une charmante image de Chiaki, mon personnage préféré dans cet animé :
Après le boulot !! :
PS : Je vous conseille plutôt de prendre les épisodes chez [Requiem]. En effet chez certaines teams, notamment celui de [Taiicho] dont la version est sur le site de M-A, il manque quelques édits à certains moments (exemple : des mots écrits sur une table). Ce n'est pas bien grave, mais cela pourrait aider grandement à la compréhension de certaines choses...