Parasyte - the maxim
Informations
(Source : AniDB)
Format : Série TV
Année : 2014
Titre original : Kiseijū Sei no Kakuritsu
Nombre d'épisodes : 24 de 25 mins
Genre : Science Fiction - Horreur
Type : Seinen
Site officiel : http://www.kiseiju.jp
Auteur : Hitoshi Iwaaki
Studio d'animation : Madhouse
Réalisation : Kenichi Shimizu
Chara-design : Tadashi Hiramatsu
Musique : Ken Arai
Composition de la série : Shoji Yonemura
Synopsis
(Source : Crunchyroll)
Quelques images
Générique
Le très bon opening Let Me Hear du groupe Fear, and Loathing in Las Vegas.
Personnages principaux
Shinichi Izumi
(voix : Nobunaga Shimazaki)
Lycéen dont la main droite est infectée par un Parasite, il se retrouve alors dans une situation extrêmement délicate où il doit trouver un moyen pour coexister paisiblement avec. Cependant dû à son caractère sérieux et compatissant, Shinichi ne peut contenir son désir de protéger l'humanité face à la menace des Parasites. Devant à la fois cacher son Parasite à ses proches afin de ne pas finir comme un spécimen de laboratoire, et combattre les autres Parasites qui le voient comme une vraie menace, dû à la conservation de sa conscience humaine, de ses émotions et de ses sensibilités.
Satomi Murano
(voix : Kana Hanazawa)
La meilleure amie de Shinichi, elle cache secrètement ses sentiments envers lui.
Migi
(voix : Aya Hirano)
L'étrange Parasite qui a échoué dans sa tentative de parasiter le cerveau de sa victime.
Migi se retrouve maintenant dans l'obligation de cohabiter avec son hôte.
Mon avis
Informations
(Source : AniDB)
Format : Série TV
Année : 2014
Titre original : Kiseijū Sei no Kakuritsu
Nombre d'épisodes : 24 de 25 mins
Genre : Science Fiction - Horreur
Type : Seinen
Site officiel : http://www.kiseiju.jp
Auteur : Hitoshi Iwaaki
Studio d'animation : Madhouse
Réalisation : Kenichi Shimizu
Chara-design : Tadashi Hiramatsu
Musique : Ken Arai
Composition de la série : Shoji Yonemura
Synopsis
(Source : Crunchyroll)
Citation :De mystérieuses créatures ont colonisé la Terre en prenant possession de certains habitants. Un lycéen, Shinichi, a été contaminé, mais son cerveau est épargné. Seul sa main droite est possédée par un Parasite, Migi, qu'il apprend peu à peu à connaître. Tous deux doivent désormais cohabiter, mais dans le même temps, Shinichi comprend que la prolifération des Parasites menace, à terme, l’espèce humaine.
Quelques images
Générique
Le très bon opening Let Me Hear du groupe Fear, and Loathing in Las Vegas.
Personnages principaux
Shinichi Izumi
(voix : Nobunaga Shimazaki)
Lycéen dont la main droite est infectée par un Parasite, il se retrouve alors dans une situation extrêmement délicate où il doit trouver un moyen pour coexister paisiblement avec. Cependant dû à son caractère sérieux et compatissant, Shinichi ne peut contenir son désir de protéger l'humanité face à la menace des Parasites. Devant à la fois cacher son Parasite à ses proches afin de ne pas finir comme un spécimen de laboratoire, et combattre les autres Parasites qui le voient comme une vraie menace, dû à la conservation de sa conscience humaine, de ses émotions et de ses sensibilités.
Satomi Murano
(voix : Kana Hanazawa)
La meilleure amie de Shinichi, elle cache secrètement ses sentiments envers lui.
Migi
(voix : Aya Hirano)
L'étrange Parasite qui a échoué dans sa tentative de parasiter le cerveau de sa victime.
Migi se retrouve maintenant dans l'obligation de cohabiter avec son hôte.
Mon avis
Kiseijū, un animé qui n'était pas dans ma liste prioritaire. Mais vu que c'est du Studio Madhouse, je le surveillais quand même du coin de l'oeil. Ils nous pondent parfois de très bonnes surprises, et Kiseijū en a justement tout l'air. Voici donc mes premières impressions après avoir vu les deux premiers épisodes.
Bon pour le moment, il n'y a seulement que deux épisodes qui sont sortis, et c'est clairement trop tôt pour se donner un réel avis dessus notamment au niveau du scénario. Ce début est plutôt calme scénaristiquement mais on avance petit à petit, faisant office d'épisodes de présentation pour le contexte de son univers. On sent cependant un très bon potentiel derrière qui pourrait nous faire sombrer dans l'horreur totale à tout moment. Enfin pas complètement quand même j'espère, il faut aussi une petite moralité à tout ça et que tout ceci ne soit pas par pure gratuité. Dans l'esprit, il me fait penser à la fois à l'animé Brynhildr in the Darkness (2014) et au manga Gantz (2000). Ces deux références n'étant pas pour tout public, les âmes sensibles devraient naturellement s'abstenir devant Kiseijū. Tout d'abord, Brynhildr in the Darkness pour son côté parasite et science-fiction cachée de la société, mais toutefois (et heureusement) sans le côté fan service harem/humour qui faisait justement l'originalité de ce dernier. Ensuite légèrement à Gantz pour sa violence et son côté romance impossible dans ce monde "pourri" et horrifique. À voir où cela peut nous mener ? Surtout que c'est encore une fois la populaire Kana Hanazawa qui double la parfaite gentille petite amie. On la voit vraiment enchaîner ce rôle un peu partout depuis sa jolie prestation de Kuroneko dans Oreimo 2 (2013), mais c'est tant mieux car c'est un rôle qu'elle joue à merveille et à la perfection.
Pour ce qui est de l'ambiance, elle est majoritairement étrange et angoissante, avec la peur perpétuelle que l'un des proches du personnage principal soit contaminé, ou soit une victime indirecte. On a aussi droit à un peu d'humour ici et là, afin de faire redescendre la tension.
Concernant le personnage principal, Shinichi m'a l'air très intéressant à suivre dans son évolution, cela promet de jolies situations de choix moraux, pouvant nous amener à un animé très psychologique à long terme.
Côté technique, les graphismes sont de bonnes factures notamment avec des couleurs assez sobres afin de donner une impression plus réaliste. Le chara-design est aussi très réussi, je le trouve même largement meilleur que celui du manga qui, il faut l'avouer, a bien vieilli. Différent et prenant même le risque de changer le caractère de certains personnages, un très bon point pour une adaptation qui semble vouloir s'accommoder avec son temps et à son nouveau support animé, n'ayant pas pour but d'être un simple copie-coller de l'oeuvre originale. Enfin l'animation est fluide et la réalisation est assez convaincante avec des angles de vue travaillés et bien marquantes à certains moments. Espérons qu'ils maintiennent le même niveau technique tout au long de ces 24 épisodes.
Et Oh Bonheur ! On notera que l'animé n'est pas censuré pour notre plus grand plaisir. Certes, il n'est pas aussi gore que dans le manga car il y a quand même du contrôle là-dessus. Mais on nous montre largement assez pour voir ou imaginer le pire. En fait, si vous avez vu l'animé Akame ga Kill ! (2014), c'est le même niveau de "contrôle". Donc réjouissez-vous ! Vous aurez bien droit à votre jambonneau en fines tranches !
On finit par le côté sonore, avec tout d'abord, un Ost présent et intéressant mais qui ne marque hélas pas assez. Pour ce qui est des génériques, on a notamment droit au très sympathique opening Let Me Hear de Fear, and Loathing in Las Vegas, le même groupe qui avait travaillé sur l'opening 2 Virtue and Vice de Brynhildr in the Darkness. Oh quelle coïncidence ! En tout cas, on apprécie que ça crie moins, et c'est tant mieux. Par contre, le gentil ending It's the Right Time chanté par Daichi Miura, n'est vraiment pas à mon goût, et je me demande même ce qu'il fait là ?! Peut-être voulaient-ils faire un genre de réminiscence ? Ce qui est une très bonne idée mais malheureusement les images ne suivent pas et ne sont pas assez explicitent.
Bref pour le moment, Kiseijū Sei no Kakuritsu semble très bien parti pour être un incontournable de cette saison fin 2014. Dégoutant et étrange, avec une fine touche de romance qui finira sans doute très mal, tout en nous promettant une part de psychologie. Un animé à surveiller de très près, si évidemment la vue de jambon en lamelles ne vous choque pas.
Bon pour le moment, il n'y a seulement que deux épisodes qui sont sortis, et c'est clairement trop tôt pour se donner un réel avis dessus notamment au niveau du scénario. Ce début est plutôt calme scénaristiquement mais on avance petit à petit, faisant office d'épisodes de présentation pour le contexte de son univers. On sent cependant un très bon potentiel derrière qui pourrait nous faire sombrer dans l'horreur totale à tout moment. Enfin pas complètement quand même j'espère, il faut aussi une petite moralité à tout ça et que tout ceci ne soit pas par pure gratuité. Dans l'esprit, il me fait penser à la fois à l'animé Brynhildr in the Darkness (2014) et au manga Gantz (2000). Ces deux références n'étant pas pour tout public, les âmes sensibles devraient naturellement s'abstenir devant Kiseijū. Tout d'abord, Brynhildr in the Darkness pour son côté parasite et science-fiction cachée de la société, mais toutefois (et heureusement) sans le côté fan service harem/humour qui faisait justement l'originalité de ce dernier. Ensuite légèrement à Gantz pour sa violence et son côté romance impossible dans ce monde "pourri" et horrifique. À voir où cela peut nous mener ? Surtout que c'est encore une fois la populaire Kana Hanazawa qui double la parfaite gentille petite amie. On la voit vraiment enchaîner ce rôle un peu partout depuis sa jolie prestation de Kuroneko dans Oreimo 2 (2013), mais c'est tant mieux car c'est un rôle qu'elle joue à merveille et à la perfection.
Pour ce qui est de l'ambiance, elle est majoritairement étrange et angoissante, avec la peur perpétuelle que l'un des proches du personnage principal soit contaminé, ou soit une victime indirecte. On a aussi droit à un peu d'humour ici et là, afin de faire redescendre la tension.
Concernant le personnage principal, Shinichi m'a l'air très intéressant à suivre dans son évolution, cela promet de jolies situations de choix moraux, pouvant nous amener à un animé très psychologique à long terme.
QB a écrit :Nan mais c'est quoi des sentiments ? Ces humains alors ! Je ne les comprendrai jamais ?!
Côté technique, les graphismes sont de bonnes factures notamment avec des couleurs assez sobres afin de donner une impression plus réaliste. Le chara-design est aussi très réussi, je le trouve même largement meilleur que celui du manga qui, il faut l'avouer, a bien vieilli. Différent et prenant même le risque de changer le caractère de certains personnages, un très bon point pour une adaptation qui semble vouloir s'accommoder avec son temps et à son nouveau support animé, n'ayant pas pour but d'être un simple copie-coller de l'oeuvre originale. Enfin l'animation est fluide et la réalisation est assez convaincante avec des angles de vue travaillés et bien marquantes à certains moments. Espérons qu'ils maintiennent le même niveau technique tout au long de ces 24 épisodes.
Et Oh Bonheur ! On notera que l'animé n'est pas censuré pour notre plus grand plaisir. Certes, il n'est pas aussi gore que dans le manga car il y a quand même du contrôle là-dessus. Mais on nous montre largement assez pour voir ou imaginer le pire. En fait, si vous avez vu l'animé Akame ga Kill ! (2014), c'est le même niveau de "contrôle". Donc réjouissez-vous ! Vous aurez bien droit à votre jambonneau en fines tranches !
On finit par le côté sonore, avec tout d'abord, un Ost présent et intéressant mais qui ne marque hélas pas assez. Pour ce qui est des génériques, on a notamment droit au très sympathique opening Let Me Hear de Fear, and Loathing in Las Vegas, le même groupe qui avait travaillé sur l'opening 2 Virtue and Vice de Brynhildr in the Darkness. Oh quelle coïncidence ! En tout cas, on apprécie que ça crie moins, et c'est tant mieux. Par contre, le gentil ending It's the Right Time chanté par Daichi Miura, n'est vraiment pas à mon goût, et je me demande même ce qu'il fait là ?! Peut-être voulaient-ils faire un genre de réminiscence ? Ce qui est une très bonne idée mais malheureusement les images ne suivent pas et ne sont pas assez explicitent.
Bref pour le moment, Kiseijū Sei no Kakuritsu semble très bien parti pour être un incontournable de cette saison fin 2014. Dégoutant et étrange, avec une fine touche de romance qui finira sans doute très mal, tout en nous promettant une part de psychologie. Un animé à surveiller de très près, si évidemment la vue de jambon en lamelles ne vous choque pas.