Brynhildr in the Darkness
Informations
(Source : Anime News Network)
Format : Série TV
Année : 2014
Titre original : Gokukoku no Brynhildr
Nombre d'épisodes : 13 + 1 Oav de 25 mins
Genre : Science Fiction - Horreur
Type : Seinen
Site officiel : http://www.vap.co.jp/gokukoku
Studio d'animation : Arms
Réalisation : Imaizumi Kenichi
Chara-design : Karasu Hiroaki
Auteur : Okamoto Lynn
Musique : Tokisawa Nao
Composition de la série : Kitajima Yukinori
Diffuseur : BS11 Digital, Tokyo MX TV, Yomiuri TV
Synopsis
(Source : Tonkam)
Quelques images
Générique
L'excellent opening Gokokoku no Brynhildr -Ver. EJECTED- composé par Tokisawa Nao.
Dommage qu'il spoile légèrement.
Mon avis
Informations
(Source : Anime News Network)
Format : Série TV
Année : 2014
Titre original : Gokukoku no Brynhildr
Nombre d'épisodes : 13 + 1 Oav de 25 mins
Genre : Science Fiction - Horreur
Type : Seinen
Site officiel : http://www.vap.co.jp/gokukoku
Studio d'animation : Arms
Réalisation : Imaizumi Kenichi
Chara-design : Karasu Hiroaki
Auteur : Okamoto Lynn
Musique : Tokisawa Nao
Composition de la série : Kitajima Yukinori
Diffuseur : BS11 Digital, Tokyo MX TV, Yomiuri TV
Synopsis
(Source : Tonkam)
Citation :Lorsqu’il était enfant, Murakami passait son temps avec une fille nommé Kuroneko. Celle-ci croyait en l’existence des aliens et un jour, elle décida de la lui prouver. Mais un accident arriva : Murakami est grièvement blessé et Kuroneko meurt. Les années passent, sans que Murakami puisse oublier son amie et continue de chercher des preuves quant à l’existence des aliens. Un jour, une jeune fille nommée Kuroha Neko fait son apparition en tant que nouvelle élève dans sa classe. Pensant son amie vivante, il la questionne, mais malgré leurs troublante ressemblance, il s’avère que la jeune fille ne connaît pas Murakami. Seulement, elle lui révèle qu’un accident le concernant allait bientôt avoir lieu...
Quelques images
Générique
L'excellent opening Gokokoku no Brynhildr -Ver. EJECTED- composé par Tokisawa Nao.
Dommage qu'il spoile légèrement.
Mon avis
Brynhildr in the Darkness est l'un des animés que j'attendais, tout simplement parce qu'il est du même auteur que l'excellent Elfen Lied (2004), réputé pour sa violence et son gore intelligemment mariés à une paradoxale douceur. Va-t-il créer encore la bonne surprise ? Je me suis alors lancer dans les trois premiers épisodes, et voici donc mes premières impressions concernant ce sombre animé.
On commence par le scénario assez original, et qui commence plutôt mal avec la mort de l'héroïne. Se démarquant plutôt bien par rapport à la concurrence, on nous parle ici d'extraterrestres, de visions dans le futur et de sorcières, un sacré mélange très science fiction avec pas mal de choses intéressantes en perspective. Tout ceci semble bien entremêlé, chaque épisode nous donne son lot d'informations nouvelles, prompt à l'inattendu et apportant même du stress à la narration (l'épisode 3 ! OO). De plus, les éléments des épisodes précédents ne sont pas délaissés, ils semblent être réutilisés intelligemment dans les suivants. D'ailleurs certains éléments encore très mystérieux et étranges ne sont pas encore révélés, mais je ne doute pas qu'ils nous réservent leur lot de surprise. Tout ça promet donc un très bon dynamisme à l'animé s'il garde ce même rythme.
Concernant les graphismes, c'est plutôt réussi et épuré, du bon boulot propre dans son ensemble. De même pour le chara-design qui reste fidèle à celui du manga, voir même meilleur, avec une attention toute particulière pour les yeux très expressifs des personnages, me faisant beaucoup penser à ceux de l'animé Shiki (2010). L'ambiance, elle, se veut plutôt banale d'apparence et on a même droit à un peu d'humour ici et là. Mais dès les premières révélations d'un épisode, c'est une ambiance étrange, lourde et mélancolique qui prédomine, voir même d'horreur... Attention toutefois, on est loin d'un Elfen Lied, enfin pour le moment tout du moins. En effet, il n'y a pas de violence, de gore, ni de démembrements en excès (cela ne veut évidemment pas dire qu'il n'y en a pas ^^). Le thème de la mort reste omniprésent, ce qui apporte un petit sentiment de malaise au fur et à mesure qu'on avance dans l'intrigue.
Techniquement l'animation est bonne, et les angles de vue sont plutôt travaillés et plaisants lorsqu'on regarde un épisode. Excepté évidemment lorsque c'est pour censurer une scène en utilisant un angle où on ne voit presque rien ! Et oui, il y a malheureusement de la censure... fini la belle époque (sniff...). On a même droit à de grosses zones d'ombre ou de lumière éblouissante. Encore heureux que le sang reste rouge et qu'il soit bien présent ! Pour une version non censurée, il faudra donc attendre la version blu-ray ou qu'une team ait la volonté de travailler sur la version de la chaîne AT-X. D'ailleurs si vous avez des infos dessus, n'hésitez surtout pas à poster ! On termine par l'Ost qui est excellent mais malheureusement trop discret. Quant aux génériques, l'opening composé par Tokisawa Nao est tout simplement sublime. Sombre, mystérieux et moderne à la fois, ne laissant place qu'à la musique et aux chants dans un silence ténébreux.
Bref, malgré un démarrage assez lent afin de mettre en place quelques éléments de narration, le dernier épisode 3 m'a complètement scotché devant mon écran ! Bien que Brynhildr in the Darkness n'ait pas encore tiré son véritable épingle du jeu, un grand potentiel en émane déjà. Espérons que l'animé continue dans le même ton afin de nous surprendre encore plus dans les prochains épisodes. Un animé à surveiller de près.
On commence par le scénario assez original, et qui commence plutôt mal avec la mort de l'héroïne. Se démarquant plutôt bien par rapport à la concurrence, on nous parle ici d'extraterrestres, de visions dans le futur et de sorcières, un sacré mélange très science fiction avec pas mal de choses intéressantes en perspective. Tout ceci semble bien entremêlé, chaque épisode nous donne son lot d'informations nouvelles, prompt à l'inattendu et apportant même du stress à la narration (l'épisode 3 ! OO). De plus, les éléments des épisodes précédents ne sont pas délaissés, ils semblent être réutilisés intelligemment dans les suivants. D'ailleurs certains éléments encore très mystérieux et étranges ne sont pas encore révélés, mais je ne doute pas qu'ils nous réservent leur lot de surprise. Tout ça promet donc un très bon dynamisme à l'animé s'il garde ce même rythme.
Concernant les graphismes, c'est plutôt réussi et épuré, du bon boulot propre dans son ensemble. De même pour le chara-design qui reste fidèle à celui du manga, voir même meilleur, avec une attention toute particulière pour les yeux très expressifs des personnages, me faisant beaucoup penser à ceux de l'animé Shiki (2010). L'ambiance, elle, se veut plutôt banale d'apparence et on a même droit à un peu d'humour ici et là. Mais dès les premières révélations d'un épisode, c'est une ambiance étrange, lourde et mélancolique qui prédomine, voir même d'horreur... Attention toutefois, on est loin d'un Elfen Lied, enfin pour le moment tout du moins. En effet, il n'y a pas de violence, de gore, ni de démembrements en excès (cela ne veut évidemment pas dire qu'il n'y en a pas ^^). Le thème de la mort reste omniprésent, ce qui apporte un petit sentiment de malaise au fur et à mesure qu'on avance dans l'intrigue.
Techniquement l'animation est bonne, et les angles de vue sont plutôt travaillés et plaisants lorsqu'on regarde un épisode. Excepté évidemment lorsque c'est pour censurer une scène en utilisant un angle où on ne voit presque rien ! Et oui, il y a malheureusement de la censure... fini la belle époque (sniff...). On a même droit à de grosses zones d'ombre ou de lumière éblouissante. Encore heureux que le sang reste rouge et qu'il soit bien présent ! Pour une version non censurée, il faudra donc attendre la version blu-ray ou qu'une team ait la volonté de travailler sur la version de la chaîne AT-X. D'ailleurs si vous avez des infos dessus, n'hésitez surtout pas à poster ! On termine par l'Ost qui est excellent mais malheureusement trop discret. Quant aux génériques, l'opening composé par Tokisawa Nao est tout simplement sublime. Sombre, mystérieux et moderne à la fois, ne laissant place qu'à la musique et aux chants dans un silence ténébreux.
Bref, malgré un démarrage assez lent afin de mettre en place quelques éléments de narration, le dernier épisode 3 m'a complètement scotché devant mon écran ! Bien que Brynhildr in the Darkness n'ait pas encore tiré son véritable épingle du jeu, un grand potentiel en émane déjà. Espérons que l'animé continue dans le même ton afin de nous surprendre encore plus dans les prochains épisodes. Un animé à surveiller de près.