Chroneek d'une geek
Il était une fois, un maître des Enfers, qui un jour adressa une missive à l'un de ses sujets, sur laquelle se dessinaient ces quelques mots :" Hey, esclave, dis-voir, comme tu fous rien de tes journées apparemment, aux vues de tout ce que tu commentes, ça t'dirais pas d'venir baver ici sur les quelques pièces de théâtres que tu as vu ? Tu seras payée en crouton de pain et en eau de Styx, ça t'botte ?! Tchuss. Signé : Le maître des enfers"
C'est ici que débute son histoire.
Hellow everybody ! (Parce que oui, l'heure est à la mondialisation alors je parle english.)
Comme l'indique l'introduction de ce fabuleux post qui risque d'être désastreux dans sa mise en forme parce que c'est la première fois que je le tente et que de toute façon je débute et puis...OH HEIN ! On s'en foutrait pas un peu ?Bref, sur les conseils de Tchenss, si le coeur vous en dit, vous aurez tout à loisir (ou pas) de lire cette petite chronique une fois par mois (Ca aussi... Ca reste de l'utopie comme je suis quelqu'un d'incroyablement bien organisée...), qui recensera les dramas/animés/films que j'ai vu, avec une petite critique/avis parce que j'aime m'écouter parler.
Et quoi de mieux que le jour de mon anniversaire pour commencer hein ?
Je tenterai de rendre cela le moins rasoir possible et une fois de plus, niveau esthétique, ça ne sera pas du grand art, mais je tenterai de faire au mieux.
Au programme, si je peux m'y tenir, il s'agira de vous présenter 2 animés, 2 dramas et enfin 2 films que je qualifierai de "normaux" et en suivant, pour chaque catégorie, quelque chose de bien moins... conventionnel (Pour ne pas dire avouable...).
Ouais, je regarde de tout et des fois des choses un peu particulières que je me surprends à aimer ou à contrario qui sont tellement chelous que je ne peux m'empêcher d'en parler.
C'est juste histoire de partager mes coups de coeur ou au contraire mes coups de gueule, bien entendu les avis divergeront et encore heureux !
Ca vous branche ?
C'est ti-par !
Sinon, je vous invite à fermer ce post et d'aller regarder l'intégrale des Feux de l'Amour en Swahili, sans pause pipi.
Ca vous apprendra.
Dramas |
Japon - Comédie sentimentale/Fantastique - 8 X 34 mins
Parfois, on devrait rajouter des tags quand on cherche des dramas...
Celui-ci avait "Comédie sentimentale - fantastique". Oh ! et école aussi mais bon, celui-ci on s'en fout royalement.
Putain de COMEDIE sentimentale !
Ouais bah j'ai chialé toutes les larmes de mon corps et j'arrive toujours pas à m'en remettre !
Ce drama est vraiment superbe par l'histoire qu'il raconte :
Un groupe d'amis, des sentiments les uns pour les autres et un légendaire cerisier qui fleurit étrangement en hiver.
La légende raconte que si l'on déclare ses sentiments à l'être aimé sous les pétales virevoltantes, l'amour entre les deux durera pour toujours.
Kota décide alors d'avouer ses sentiments ce jour-là à Mei mais alors qu'elle l'attend impatiemment sous les lourdes branches, il ne viendra jamais.
Kota vient de mourir en chutant d'une falaise (Vous le sentez vous aussi ? En même temps, c'était écrit dans le synopsis...).
7 ans plus tard, alors qu'elle entend aux infos qu'ils vont abattre le cerisier pour construire un hôpital, Mei décide de retourner dans sa ville natale pour se recueillir une dernière fois sous les majestueuses branches.
Un coup de vent venu d'on ne sait où et apparaît sous ses yeux, un Kota du haut de ses 17 ans en chair et en os mais pour lequel sa mémoire fait défaut. Il n'a pas conscience qu'il est mort et encore moins que 7 ans se sont écoulés.
Un joli conte sur l'amitié et l'amour, avec son lot d'émotion qui amène forcément son lot de larmes.
Les acteurs sont excellents et l'histoire magnifique.
Une belle leçon de vie sur l'appréciation de l'instant présent et l'obligation de se faire des souvenirs pour nous aider à avancer.
Drama vraiment splendide, même s'il vous laissera quelques blessures.
Warning : A ne pas regarder si vous habitez au 7ème étage. Il pourrait vous donner l'envie de sauter.
Parfois, on devrait rajouter des tags quand on cherche des dramas...
Celui-ci avait "Comédie sentimentale - fantastique". Oh ! et école aussi mais bon, celui-ci on s'en fout royalement.
Putain de COMEDIE sentimentale !
Ouais bah j'ai chialé toutes les larmes de mon corps et j'arrive toujours pas à m'en remettre !
Ce drama est vraiment superbe par l'histoire qu'il raconte :
Un groupe d'amis, des sentiments les uns pour les autres et un légendaire cerisier qui fleurit étrangement en hiver.
La légende raconte que si l'on déclare ses sentiments à l'être aimé sous les pétales virevoltantes, l'amour entre les deux durera pour toujours.
Kota décide alors d'avouer ses sentiments ce jour-là à Mei mais alors qu'elle l'attend impatiemment sous les lourdes branches, il ne viendra jamais.
Kota vient de mourir en chutant d'une falaise (Vous le sentez vous aussi ? En même temps, c'était écrit dans le synopsis...).
7 ans plus tard, alors qu'elle entend aux infos qu'ils vont abattre le cerisier pour construire un hôpital, Mei décide de retourner dans sa ville natale pour se recueillir une dernière fois sous les majestueuses branches.
Un coup de vent venu d'on ne sait où et apparaît sous ses yeux, un Kota du haut de ses 17 ans en chair et en os mais pour lequel sa mémoire fait défaut. Il n'a pas conscience qu'il est mort et encore moins que 7 ans se sont écoulés.
Un joli conte sur l'amitié et l'amour, avec son lot d'émotion qui amène forcément son lot de larmes.
Les acteurs sont excellents et l'histoire magnifique.
Une belle leçon de vie sur l'appréciation de l'instant présent et l'obligation de se faire des souvenirs pour nous aider à avancer.
Drama vraiment splendide, même s'il vous laissera quelques blessures.
Warning : A ne pas regarder si vous habitez au 7ème étage. Il pourrait vous donner l'envie de sauter.
Japon - Comédie romantique - 10 X 46 mins
Ooooh ! Une petite comédie sentimentale comme on les aime (Ou comme on est censé les aimer...)
Makoto et Haruko, deux handicapés de l'amour, vivent leur petit train-train quotidien, las de leurs échecs amoureux et au bord du désespoir, car on le sait tous, se mettre en couple, c'est la réelle seule motivation de vivre de l'être humain...
C'est alors que ce pointe THE personnage, en nôtre cher Yamapi, se présentant à Makoto comme étant "Dieu" et le motif de sa présence ? L'aider à se sortir les doigts du *** ainsi que faire avaler le parapluie que Haruko a coincé dans le gosier, afin qu'ils puissent se marier et concevoir un enfant qui 30 ans plus tard, sauvera la terre d'une destruction par météorite (I don't waaaaaaant to close my eeeeeeeyes !).
Oui, Dieu s'ennuie royalement de toute évidence.
(Le niais, la cruche et le Don Juan)
Car oui... Makoto est un manche et Haruko est ennuyeuse au possible.
Ce pauvre garçon se donnera toute les peines du monde ne serait-ce que pour faire sourire cette greluche et elle, touuuuuuuuut au long du drama, elle tirera une gueule de six pied de long tant elle semble porter toute la misère du monde sur ses épaules (Je vous l'donne en 1000 et tout le monde l'aura deviné sans spoiler "A cause d'une déceptioooooooon amoureuse ! Tous les hommes sont des salauds d'abord !").
Leur histoire d'amour est chiante à mourir...
Et ce qui fait la force de ce drama, c'est la complicité entre Kamenashi et Yamapi.
Le personnage de "Dieu" est hilarant et il donne toute sa profondeur et son intérêt à chaque épisode. Il est arrogant, désinvolte et c'est comme ça qu'on l'aime!
Et étrangement, même quand il est habillé en soubrette... sifflote
Je dois avouer que sans cela, le drama ne mériterait même pas d'être regardé tant je l'ai trouvé ennuyeux. Les membres de l'équipe de Makoto apportent également leurs bons moments de légèreté et c'est tant mieux.
Je clôture donc cet avis par le fait que si vous cherchez une belle romance sous couvert de comédie, ce n'est pas vraiment le drama qu'il vous faut.
C'est long, on se fiche presque du dénouement de l'histoire à savoir s'ils finissent vraiment ensemble ou pas et c'est quand même le comble pour une comédie romantique. Ce que l'on veut, c'est Kame torturé par Yamapi durant des épisodes durant.
La fin est tout de même émouvante par un aveu de Yamapi envers Kame mais ça ne suffit pas à balayer les longues heures que l'on a perdu avant. A mon humble avis.
Ooooh ! Une petite comédie sentimentale comme on les aime (Ou comme on est censé les aimer...)
Makoto et Haruko, deux handicapés de l'amour, vivent leur petit train-train quotidien, las de leurs échecs amoureux et au bord du désespoir, car on le sait tous, se mettre en couple, c'est la réelle seule motivation de vivre de l'être humain...
C'est alors que ce pointe THE personnage, en nôtre cher Yamapi, se présentant à Makoto comme étant "Dieu" et le motif de sa présence ? L'aider à se sortir les doigts du *** ainsi que faire avaler le parapluie que Haruko a coincé dans le gosier, afin qu'ils puissent se marier et concevoir un enfant qui 30 ans plus tard, sauvera la terre d'une destruction par météorite (I don't waaaaaaant to close my eeeeeeeyes !).
Oui, Dieu s'ennuie royalement de toute évidence.
(Le niais, la cruche et le Don Juan)
Car oui... Makoto est un manche et Haruko est ennuyeuse au possible.
Ce pauvre garçon se donnera toute les peines du monde ne serait-ce que pour faire sourire cette greluche et elle, touuuuuuuuut au long du drama, elle tirera une gueule de six pied de long tant elle semble porter toute la misère du monde sur ses épaules (Je vous l'donne en 1000 et tout le monde l'aura deviné sans spoiler "A cause d'une déceptioooooooon amoureuse ! Tous les hommes sont des salauds d'abord !").
Leur histoire d'amour est chiante à mourir...
Et ce qui fait la force de ce drama, c'est la complicité entre Kamenashi et Yamapi.
Le personnage de "Dieu" est hilarant et il donne toute sa profondeur et son intérêt à chaque épisode. Il est arrogant, désinvolte et c'est comme ça qu'on l'aime!
Et étrangement, même quand il est habillé en soubrette... sifflote
Je dois avouer que sans cela, le drama ne mériterait même pas d'être regardé tant je l'ai trouvé ennuyeux. Les membres de l'équipe de Makoto apportent également leurs bons moments de légèreté et c'est tant mieux.
Je clôture donc cet avis par le fait que si vous cherchez une belle romance sous couvert de comédie, ce n'est pas vraiment le drama qu'il vous faut.
C'est long, on se fiche presque du dénouement de l'histoire à savoir s'ils finissent vraiment ensemble ou pas et c'est quand même le comble pour une comédie romantique. Ce que l'on veut, c'est Kame torturé par Yamapi durant des épisodes durant.
La fin est tout de même émouvante par un aveu de Yamapi envers Kame mais ça ne suffit pas à balayer les longues heures que l'on a perdu avant. A mon humble avis.
Thaïlande - Gay/Comédie/mature - 20 X 15 mins +18ans
Je vous avais dit que je vous présenterai aussi des trucs un peu différents n'est-ce pas ?
En voici un beau spécimen.
Bankok G Stoy est tout simplement une série humoristique, qui raconte les aventures sexuelles et les mésaventures de trois amis gays (On l'aura deviné...), dont "G" qui débarque tout droit de la province.
(Je vous rassure, on est pas dans un gonzo...)
Le jeu d'acteur de ce lackorn est absolument catastrophique mais étrangement, on n'y accorde pas de réel intérêt (Bizarre n'est-ce pas ?).
Bien qu'il n'y ait pas vraiment d'histoire pour laquelle un scénariste a sué sang et eau pour nous pondre une merveille, si on passe outre les scènes de cul (car vous vous en doutez au rating, il en a !), l'évolution de la relation entre G et son meilleur ami, qu'il retrouve donc à Bangkok, est plutôt mignonne.
Notons surtout le côté adorable de ce garçon qui débarque de sa province, le coeur plein d'amour et de rêve pour tomber dans une Bangkok décadente et totalement à l'inverse de ce qu'il imaginait.
Il apporte un côté frais à tous ces pervers en moule-bi*** et c'est rafraîchissant.
Non vraiment, il ne faut pas se le cacher, Bangkok G Story est principalement destiné à un public gay ou féminin mais il est bourré d'humour et honnêtement, il vaut le coup d'oeil au moins une fois.
Ne serait-ce que pour se prendre quelques fou rire.
Et puis bon, y'a pas de mal à se ravir le regard de temps en temps.
Les Thaïlandais ont tellement l'habitude de nous offrir des gamins limites pubères qui roulent en Audi fraichement sortie de l'usine alors qu'ils ont encore la goutte de lait au nez, qu'il est agréable de regarder, l'espace d'une soirée, la crème de la plastique Thaï.
Je vous avais dit que je vous présenterai aussi des trucs un peu différents n'est-ce pas ?
En voici un beau spécimen.
Bankok G Stoy est tout simplement une série humoristique, qui raconte les aventures sexuelles et les mésaventures de trois amis gays (On l'aura deviné...), dont "G" qui débarque tout droit de la province.
(Je vous rassure, on est pas dans un gonzo...)
Le jeu d'acteur de ce lackorn est absolument catastrophique mais étrangement, on n'y accorde pas de réel intérêt (Bizarre n'est-ce pas ?).
Bien qu'il n'y ait pas vraiment d'histoire pour laquelle un scénariste a sué sang et eau pour nous pondre une merveille, si on passe outre les scènes de cul (car vous vous en doutez au rating, il en a !), l'évolution de la relation entre G et son meilleur ami, qu'il retrouve donc à Bangkok, est plutôt mignonne.
Notons surtout le côté adorable de ce garçon qui débarque de sa province, le coeur plein d'amour et de rêve pour tomber dans une Bangkok décadente et totalement à l'inverse de ce qu'il imaginait.
Il apporte un côté frais à tous ces pervers en moule-bi*** et c'est rafraîchissant.
Non vraiment, il ne faut pas se le cacher, Bangkok G Story est principalement destiné à un public gay ou féminin mais il est bourré d'humour et honnêtement, il vaut le coup d'oeil au moins une fois.
Ne serait-ce que pour se prendre quelques fou rire.
Et puis bon, y'a pas de mal à se ravir le regard de temps en temps.
Les Thaïlandais ont tellement l'habitude de nous offrir des gamins limites pubères qui roulent en Audi fraichement sortie de l'usine alors qu'ils ont encore la goutte de lait au nez, qu'il est agréable de regarder, l'espace d'une soirée, la crème de la plastique Thaï.
Animés |
Japon - Comédie/Horreur/Surnaturel - 12 X 24 mins
Méga coup de coeur pour cet animé !
J'en suis venue à m'acheter les trois premiers tomes du manga dans la foulée. Mais il va falloir être patient... Le manga n'est pas encore terminé et 15 sont déjà sortis au Japon. J'espère que Pika Edition ne nous fera pas attendra 10 ans entre chaque tome... BREF !
(Non mais regardez-moi cette bouille !)
L'histoire raconte les mésaventures de Nene, petite nana à l'aspect enfantin mais qui est tout de même lycéenne, lorsqu'elle vient à vouloir rencontrer la fameuse Hanako, légende de son école qui dit que cet esprit vivant dans les toilettes des filles, serait capable de réaliser vos souhaits.
Petit toc toc à la porte et abracadabra, Hanako pointe le bout de son nez !
Premièrement, contrairement aux rumeurs, il ne s'agit pas d'une jeune femme mais d'un garçon et il semble bien moins fortiche que ce que véhicule la rumeur.
Après une petite bourde, elle vient à devenir l'assistante du fantôme (Pour ne pas dire sa servante) et Hanako se trouve cacher de bien lourds secrets sous ses allures de petit garçon quelque peu pervers (Ouais, plutôt tactile le gamin !).
Le design de cet animé est particulier mais j'avoue qu'il a touché mon coeur.
Savant mélange de dessins enfantins auxquels se mélange bien rapidement le glauque.
On a presque par instant l'impression qu'il s'agit de vitraux.
L'histoire est prenante et ne vous fiez pas aux couleurs chatoyantes et à l'aspect gentillet des personnages, on bascule bien rapidement dans l'horreur et le malaisant.
Hanako est typiquement le genre de personnage que j'adore !
Un aspect enfantin cachant bien des mystères, une force hors du commun, une petite perversité qui nous laisse dubitatif quant à ses réelles intentions, mais finalement derrière tout cela, Hanako est finalement juste seul. Après tout, ça fait plusieurs décennies qu'il roule sa bosse sans que personne ne se soit réellement attardé sur lui, autrement que pour pouvoir réaliser un de ses souhaits.
Nene va lui apporter bien plus qu'on ne le pense.
Bref, j'ai vraiment craqué et je souhaite de tout coeur voir un jour germer une saison 2.
Méga coup de coeur pour cet animé !
J'en suis venue à m'acheter les trois premiers tomes du manga dans la foulée. Mais il va falloir être patient... Le manga n'est pas encore terminé et 15 sont déjà sortis au Japon. J'espère que Pika Edition ne nous fera pas attendra 10 ans entre chaque tome... BREF !
(Non mais regardez-moi cette bouille !)
L'histoire raconte les mésaventures de Nene, petite nana à l'aspect enfantin mais qui est tout de même lycéenne, lorsqu'elle vient à vouloir rencontrer la fameuse Hanako, légende de son école qui dit que cet esprit vivant dans les toilettes des filles, serait capable de réaliser vos souhaits.
Petit toc toc à la porte et abracadabra, Hanako pointe le bout de son nez !
Premièrement, contrairement aux rumeurs, il ne s'agit pas d'une jeune femme mais d'un garçon et il semble bien moins fortiche que ce que véhicule la rumeur.
Après une petite bourde, elle vient à devenir l'assistante du fantôme (Pour ne pas dire sa servante) et Hanako se trouve cacher de bien lourds secrets sous ses allures de petit garçon quelque peu pervers (Ouais, plutôt tactile le gamin !).
Le design de cet animé est particulier mais j'avoue qu'il a touché mon coeur.
Savant mélange de dessins enfantins auxquels se mélange bien rapidement le glauque.
On a presque par instant l'impression qu'il s'agit de vitraux.
L'histoire est prenante et ne vous fiez pas aux couleurs chatoyantes et à l'aspect gentillet des personnages, on bascule bien rapidement dans l'horreur et le malaisant.
Hanako est typiquement le genre de personnage que j'adore !
Un aspect enfantin cachant bien des mystères, une force hors du commun, une petite perversité qui nous laisse dubitatif quant à ses réelles intentions, mais finalement derrière tout cela, Hanako est finalement juste seul. Après tout, ça fait plusieurs décennies qu'il roule sa bosse sans que personne ne se soit réellement attardé sur lui, autrement que pour pouvoir réaliser un de ses souhaits.
Nene va lui apporter bien plus qu'on ne le pense.
Bref, j'ai vraiment craqué et je souhaite de tout coeur voir un jour germer une saison 2.
Japon - Comédie romantique - 13 X 24 mins
Là aussi, super bonne surprise !
On suit le quotidien de plusieurs lycéens, devenant amis au fur et à mesure d'aventures les poussant à se rencontrer, dans un slice of life bourré d'humour et plus précisément l'histoire de Hori, jeune lycéenne haute en couleur, au caractère bien trempée et aux nombreuse qualités et Miyamura, un camarade de classe rejeté de tous par son statut d'otaku aux cheveux longs, cachés derrière ses grosses lunettes.
(Ouais, être un otaku rejeté et tout poisseux dans Horimiya, c'est ressembler à ça...)
Mais notre petit otaku cache bien des surprises.
Sous ses longs cheveux, au demeurant superbes, se cachent 9 piercing et son corps arbore fièrement un énorme tatouage le long de son dos et le long de son épaule. Ouais, une fois de plus, être otaku dans Horimiya, c'est être badass !!
Commence alors l'histoire de Hori qui découvre cette face cachée du petit reclu et n'y est pas indifférente. (En même temps, qui le serait !) Et par chance, le beau gosse semble partager son intérêt (Parce que ouais ! Il déchire !)
(Encore une transformation époustouflante dûe à des lunettes enlevées et des cheveux attachés ! Shabadabada !)
L'humour y est détonnant et les dessins absolument splendides !
L'avantage de regarder une romance shonen, c'est que l'héroïne aura un minimum de cervelle et son caractère bien trempé provoquera des situations hilarantes.
Je l'ai dévoré d'une traite et j'en aurai regardé tout autant en plus sans aucun problème.
J'ai vu qu'il y avait une adaptation drama en cours dans nos enfers et je suis curieuse de ce que ça peut donner... Tout autant que ça me fait peur quand je vois l'affiche et la tête du personnage de Miyamura.
Ils n'auraient tout simplement pas pu prendre un acteur aux cheveux longs plutôt que d'affubler celui-ci d'une perruque aussi grotesque ?!
Bref... On est pas là pour parler du drama mais de l'animé.
Ca a également été un coup de coeur et je vous le recommande sans problème.
Là aussi, super bonne surprise !
On suit le quotidien de plusieurs lycéens, devenant amis au fur et à mesure d'aventures les poussant à se rencontrer, dans un slice of life bourré d'humour et plus précisément l'histoire de Hori, jeune lycéenne haute en couleur, au caractère bien trempée et aux nombreuse qualités et Miyamura, un camarade de classe rejeté de tous par son statut d'otaku aux cheveux longs, cachés derrière ses grosses lunettes.
(Ouais, être un otaku rejeté et tout poisseux dans Horimiya, c'est ressembler à ça...)
Mais notre petit otaku cache bien des surprises.
Sous ses longs cheveux, au demeurant superbes, se cachent 9 piercing et son corps arbore fièrement un énorme tatouage le long de son dos et le long de son épaule. Ouais, une fois de plus, être otaku dans Horimiya, c'est être badass !!
Commence alors l'histoire de Hori qui découvre cette face cachée du petit reclu et n'y est pas indifférente. (En même temps, qui le serait !) Et par chance, le beau gosse semble partager son intérêt (Parce que ouais ! Il déchire !)
(Encore une transformation époustouflante dûe à des lunettes enlevées et des cheveux attachés ! Shabadabada !)
L'humour y est détonnant et les dessins absolument splendides !
L'avantage de regarder une romance shonen, c'est que l'héroïne aura un minimum de cervelle et son caractère bien trempé provoquera des situations hilarantes.
Je l'ai dévoré d'une traite et j'en aurai regardé tout autant en plus sans aucun problème.
J'ai vu qu'il y avait une adaptation drama en cours dans nos enfers et je suis curieuse de ce que ça peut donner... Tout autant que ça me fait peur quand je vois l'affiche et la tête du personnage de Miyamura.
Ils n'auraient tout simplement pas pu prendre un acteur aux cheveux longs plutôt que d'affubler celui-ci d'une perruque aussi grotesque ?!
Bref... On est pas là pour parler du drama mais de l'animé.
Ca a également été un coup de coeur et je vous le recommande sans problème.
Japon - Romance/Erotique/Josei - 12 X 5 mins +18 ans
Voilà le truc un peu "particulier" de la catégorie Animé
Je ne sais pas comment les autres femmes perçoivent les Hentaï mais pour ma part, c'est une catégorie que j'ai énormément de mal à aimer. Et même à regarder...
Pour que ça me plaise, il faudrait au minimum une histoire, des personnages masculins attrayants et éviter à tout prix que le femme ne soit complètement déformée et humiliée par un comportement absolument imaginaire.
On se le cache pas hein ! Les hentaï, c'est principalement destinés à un public masculin...
On le voit clairement par le fait que soit les personnages masculins sont absolument dégueulasses de part leur physique et leur comportement, les femmes (Quand elles ont la chance de ne pas avoir l'air d'enfant...) disposent d'attributs physiques qui feraient que dans la vraie vie, elles tomberaient littéralement sur le sol, vers l'avant, à chacun de leurs pas et leurs expressions lorsque qu'elles viennent à jouer avec des "membres" d'une taille avoisinant presque le bras de bébé sont absolument inconcevables !
Mais faut bien donner l'illusion à ces messieurs que peu importe les circonstances, une femme quand ça voit un pénis, ça veut forcément jouer avec hein...
Bref... Exit.
Comic Festa a alors décidé avec un commun accord avec eux-mêmes, de contenter le public féminin...
D'ailleurs, aucun de leur projet n'est taggé "Hentaï" mais "Erotique".
Outre le fait qu'elles ne soient que le reflet de différents fantasmes, ici, il y a une histoire. Plus ou moins en tout cas.
Le personnage masculin est incroyablement beau, aura la chance d'avoir un design complet et ne se cantonnera qu'à vouloir sauter l'héroïne principale qui par contre elle, sera TOUJOURS (ou presque) une pauvre petite chose sans défense.
En même temps, s'il avait fallu lui faire un caractère, le "héro" n'aurait pas eu le plaisir de pouvoir "jouer" avec aussi rapidement... Hein ! Une femme qu'il faut courtiser, c'est trop long à faire tenir dans un format de 5 minutes n'est-ce pas... ?
Ici, en histoire de fond, nous avons Hana Natori, une jeune femme de 25 ans qui se trouve à devoir prendre la place de sa cousine, qui refuse de retourner au lycée et qui dés lors, risque de redoubler...
Les jeunes femmes se ressemblent comme deux gouttes d'eau (Encore une histoire de consanguinité tiens...), voilà donc notre Hana en petite lycéenne, pensant berner son monde.
Hélas, un certain professeur d'histoire, Okito Kanie, démasque la supercherie en deux temps trois mouvements parce qu'il est tropfortdelamortetquonapasletime.
Mais il y a une raison à cela. Okito est un ancien camarade de lycée de Hana et a toujours été amoureux d'elle...
C'est pas une histoire de fond de malade ça ?
Alors bon... On va pas se mentir, l'animation n'est pas ce qu'il y a de meilleur mais après tout, on appréciera ses petites histoires courtes qui trouverons leur public chez les femmes qui souhaitent, par instant, regarder quelque chose d'un peu plus chaud qu'un baiser échangé à la sortie du lycée.
Bien que le consentement ne soit pas forcément de mise (Pas plus que dans un shojo lors des baisers volés hein...), on appréciera l'absence de viol, de visage déformé par un plaisir complètement démesuré et il n'y a pas non plus de gros plans absolument dégueulasses (Et je pense que vous voyez très bien à quoi je fais référence...)
Après tout, rappelons le, ce n'est pas un hentaï. C'est érotique.
Voilà donc le premier Comic Festa que je vous présente.
Pas parce que j'ai adoré parce que faut pas déconner mais plus parce que c'est suffisamment rare pour pouvoir le signifier.
Si vous ne connaissez pas, essayez donc quelques une de ces fictions (Je vous en présenterai d'autres). C'est pas le temps que ça dure qui est un problème...
Voilà le truc un peu "particulier" de la catégorie Animé
Je ne sais pas comment les autres femmes perçoivent les Hentaï mais pour ma part, c'est une catégorie que j'ai énormément de mal à aimer. Et même à regarder...
Pour que ça me plaise, il faudrait au minimum une histoire, des personnages masculins attrayants et éviter à tout prix que le femme ne soit complètement déformée et humiliée par un comportement absolument imaginaire.
On se le cache pas hein ! Les hentaï, c'est principalement destinés à un public masculin...
On le voit clairement par le fait que soit les personnages masculins sont absolument dégueulasses de part leur physique et leur comportement, les femmes (Quand elles ont la chance de ne pas avoir l'air d'enfant...) disposent d'attributs physiques qui feraient que dans la vraie vie, elles tomberaient littéralement sur le sol, vers l'avant, à chacun de leurs pas et leurs expressions lorsque qu'elles viennent à jouer avec des "membres" d'une taille avoisinant presque le bras de bébé sont absolument inconcevables !
Mais faut bien donner l'illusion à ces messieurs que peu importe les circonstances, une femme quand ça voit un pénis, ça veut forcément jouer avec hein...
Bref... Exit.
Comic Festa a alors décidé avec un commun accord avec eux-mêmes, de contenter le public féminin...
D'ailleurs, aucun de leur projet n'est taggé "Hentaï" mais "Erotique".
Outre le fait qu'elles ne soient que le reflet de différents fantasmes, ici, il y a une histoire. Plus ou moins en tout cas.
Le personnage masculin est incroyablement beau, aura la chance d'avoir un design complet et ne se cantonnera qu'à vouloir sauter l'héroïne principale qui par contre elle, sera TOUJOURS (ou presque) une pauvre petite chose sans défense.
En même temps, s'il avait fallu lui faire un caractère, le "héro" n'aurait pas eu le plaisir de pouvoir "jouer" avec aussi rapidement... Hein ! Une femme qu'il faut courtiser, c'est trop long à faire tenir dans un format de 5 minutes n'est-ce pas... ?
Ici, en histoire de fond, nous avons Hana Natori, une jeune femme de 25 ans qui se trouve à devoir prendre la place de sa cousine, qui refuse de retourner au lycée et qui dés lors, risque de redoubler...
Les jeunes femmes se ressemblent comme deux gouttes d'eau (Encore une histoire de consanguinité tiens...), voilà donc notre Hana en petite lycéenne, pensant berner son monde.
Hélas, un certain professeur d'histoire, Okito Kanie, démasque la supercherie en deux temps trois mouvements parce qu'il est tropfortdelamortetquonapasletime.
Mais il y a une raison à cela. Okito est un ancien camarade de lycée de Hana et a toujours été amoureux d'elle...
C'est pas une histoire de fond de malade ça ?
Alors bon... On va pas se mentir, l'animation n'est pas ce qu'il y a de meilleur mais après tout, on appréciera ses petites histoires courtes qui trouverons leur public chez les femmes qui souhaitent, par instant, regarder quelque chose d'un peu plus chaud qu'un baiser échangé à la sortie du lycée.
Bien que le consentement ne soit pas forcément de mise (Pas plus que dans un shojo lors des baisers volés hein...), on appréciera l'absence de viol, de visage déformé par un plaisir complètement démesuré et il n'y a pas non plus de gros plans absolument dégueulasses (Et je pense que vous voyez très bien à quoi je fais référence...)
Après tout, rappelons le, ce n'est pas un hentaï. C'est érotique.
Voilà donc le premier Comic Festa que je vous présente.
Pas parce que j'ai adoré parce que faut pas déconner mais plus parce que c'est suffisamment rare pour pouvoir le signifier.
Si vous ne connaissez pas, essayez donc quelques une de ces fictions (Je vous en présenterai d'autres). C'est pas le temps que ça dure qui est un problème...
Films |
Japon - Horreur - 1h38
Je n'ai pas vu le 1, mais s'agissant finalement de l'origine de la légende, ce n'est finalement pas grave.
Pour ceux qui ne le savent pas, Carved 2 narre les origines de la légende de Kuchisake, la femme au sourire fendu, en s'inspirant de faits réels, déroulés en 1978, survenus à Gifu cette année là.
Avec un thème pareil et l'excellence des Japonais à nous faire flipper avec leurs légendes tout droit sorties des esprits les plus atrophiés, on se dit que ça va être pas mal. Bah ça, c'est sur le papier...
C'est extrêmement long !
Il ne se passe rien (à part le fameux acte de défiguration et encore...) pendant l'entièreté de la première heure.
Tout se déroule sur les 38 dernières minutes et franchement, c'est pas foclichon...
A aucun moment on a les miquettes (Après, j'ai vu tellement de films d'horreur, qu'il est difficile de me surprendre maintenant...), le film survole finalement la légende.
Plus qu'un film d'horreur, je l'aurai qualifié de "Drame" ou encore "Thriller" et encore pour ce dernier, il y aurait fallu une intrigue intéressante.
Je suis déçue parce que j'aime énormément leurs adaptations cinématographique tirées de légendes urbaines mais peut-être que le film a tout simplement mal vieilli...
Même si certaines oeuvres qui datent de plus de 13 ans sont encore excellentes.
Je ne le conseille donc pas. Ca ne vaut vraiment pas le coup.
Je n'ai pas vu le 1, mais s'agissant finalement de l'origine de la légende, ce n'est finalement pas grave.
Pour ceux qui ne le savent pas, Carved 2 narre les origines de la légende de Kuchisake, la femme au sourire fendu, en s'inspirant de faits réels, déroulés en 1978, survenus à Gifu cette année là.
Avec un thème pareil et l'excellence des Japonais à nous faire flipper avec leurs légendes tout droit sorties des esprits les plus atrophiés, on se dit que ça va être pas mal. Bah ça, c'est sur le papier...
C'est extrêmement long !
Il ne se passe rien (à part le fameux acte de défiguration et encore...) pendant l'entièreté de la première heure.
Tout se déroule sur les 38 dernières minutes et franchement, c'est pas foclichon...
A aucun moment on a les miquettes (Après, j'ai vu tellement de films d'horreur, qu'il est difficile de me surprendre maintenant...), le film survole finalement la légende.
Plus qu'un film d'horreur, je l'aurai qualifié de "Drame" ou encore "Thriller" et encore pour ce dernier, il y aurait fallu une intrigue intéressante.
Je suis déçue parce que j'aime énormément leurs adaptations cinématographique tirées de légendes urbaines mais peut-être que le film a tout simplement mal vieilli...
Même si certaines oeuvres qui datent de plus de 13 ans sont encore excellentes.
Je ne le conseille donc pas. Ca ne vaut vraiment pas le coup.
Japon - Action/Comédie - 1h17
Je pense que vous présenter ce film, c'est un peu tenter de vous apprendre que Jun Matsumato joue dans Hana yori dango... (Ah ! Vous saviez pas ?)
Si je me rappelle bien de ce que j'avais lu à l'époque, il s'agit plus que d'un film, d'une promotion pour leur nouvel album de l'époque.
Au début du film, je trouvais l'ambiance géniale et l'histoire originale mais malheureusement, je trouve que le tout s'essouffle bien rapidement. Et les personnages qui pourraient être haut en couleur ne sont finalement que trop peu exploités. Par exemple :
Le personnage de Ace !
Je parle du personnage, pas de l'acteur derrière.
Je trouve ce perso super badass !! Et lorsqu'on nous les présente tous au début du film, lors de la baston, je me suis dis "Ouoh ! Il est claaaaasse lui !!"
Ah... Bah savoure.... ca sera la seule et unique fois...
Oh ! Mais je me rends compte que je n'ai pas présenté de quoi il retournait ! Des fois que quelqu'un ne l'aurait pas vu.
7 orphelins, ayant grandis dans le même orphelinat, qui restent potes malgré les années, qui fondent un club, couverture de leur véritable taff qui n'est autre que "nettoyeurs".
En bref, ils sont en charge du sale boulot de se débarrasser de personnes ou objets un peu trop encombrants.
Mais un jour, la chose qu'ils doivent envoyer aux oubliettes n'est autre qu'un bébé (Ca se comprend....) et là, ça change la donne.
Honnêtement, je trouvais le synopsis vraiment sympa et les premiers instants du film nous vendent du rêve. Si tenté que l'on aime les films de mafieux, mais bien rapidement, ça s'essouffle et on est bien loin de ce que l'on espérait. J'aurai aimé plus de violence, plus de contrat à accomplir, plus de plan sur leur réelle profession quoi !!! J'en attendais trop finalement, sans savoir réellement de quoi il retournait.
Les voir jouer à la nounou, ça m'a saoulé...
Je l'ai tout de même vu il y a longtemps. Je crois même qu'à l'époque, je ne connaissais aucun, sinon peu, des membres du groupe. Je comprends aujourd'hui qu'il s'agit principalement d'un "film" pour contenter les fans. Rien de plus.
C'est dommage... Y'avait matière à faire quelque chose de vraiment chouette je pense.
Mais ça c'est la faute de Tchenss, c'est elle qui m'a fait découvrir des films avec de sérieux psychopathes ! Du coup, je cherche à en voir partout maintenant !
Je pense que vous présenter ce film, c'est un peu tenter de vous apprendre que Jun Matsumato joue dans Hana yori dango... (Ah ! Vous saviez pas ?)
Si je me rappelle bien de ce que j'avais lu à l'époque, il s'agit plus que d'un film, d'une promotion pour leur nouvel album de l'époque.
Au début du film, je trouvais l'ambiance géniale et l'histoire originale mais malheureusement, je trouve que le tout s'essouffle bien rapidement. Et les personnages qui pourraient être haut en couleur ne sont finalement que trop peu exploités. Par exemple :
Le personnage de Ace !
Je parle du personnage, pas de l'acteur derrière.
Je trouve ce perso super badass !! Et lorsqu'on nous les présente tous au début du film, lors de la baston, je me suis dis "Ouoh ! Il est claaaaasse lui !!"
Ah... Bah savoure.... ca sera la seule et unique fois...
Oh ! Mais je me rends compte que je n'ai pas présenté de quoi il retournait ! Des fois que quelqu'un ne l'aurait pas vu.
7 orphelins, ayant grandis dans le même orphelinat, qui restent potes malgré les années, qui fondent un club, couverture de leur véritable taff qui n'est autre que "nettoyeurs".
En bref, ils sont en charge du sale boulot de se débarrasser de personnes ou objets un peu trop encombrants.
Mais un jour, la chose qu'ils doivent envoyer aux oubliettes n'est autre qu'un bébé (Ca se comprend....) et là, ça change la donne.
Honnêtement, je trouvais le synopsis vraiment sympa et les premiers instants du film nous vendent du rêve. Si tenté que l'on aime les films de mafieux, mais bien rapidement, ça s'essouffle et on est bien loin de ce que l'on espérait. J'aurai aimé plus de violence, plus de contrat à accomplir, plus de plan sur leur réelle profession quoi !!! J'en attendais trop finalement, sans savoir réellement de quoi il retournait.
Les voir jouer à la nounou, ça m'a saoulé...
Je l'ai tout de même vu il y a longtemps. Je crois même qu'à l'époque, je ne connaissais aucun, sinon peu, des membres du groupe. Je comprends aujourd'hui qu'il s'agit principalement d'un "film" pour contenter les fans. Rien de plus.
C'est dommage... Y'avait matière à faire quelque chose de vraiment chouette je pense.
Mais ça c'est la faute de Tchenss, c'est elle qui m'a fait découvrir des films avec de sérieux psychopathes ! Du coup, je cherche à en voir partout maintenant !
Hong Kong - Drame psychologique - 1h37 +18 ans
Et voilà le petit dernier dans la catégorie film "un peu spécial".
Je préviens tout de suite ce film divise énormément. Il y aura ceux qui auront vraiment adoré et ceux qui l'aboreront.
Bien entendu, je fais partie de la première catégorie. Pour moi, ce film est juste une pure merveille. Pour peu que l'on soit adepte des films qui te retournent le cerveau et demandent un minimum d'analyse...
C'est très particulier et destiné à un public de niche.
On m'avait offert, il y a longtemps, Kafka sur le rivage, qui m'avait profondément marqué et j'ai beaucoup aimé y voir les nombreuses références.
La façon dont le film est tourné peut rapidement perdre le spectateur s'il n'est pas suffisamment concentré, mêlant flash-back et présent sans réel fondu enchainé ou autre indice précisant que l'on change d'espace temps.
Pour résumer l'histoire, Kafka rencontre un jour Daniel, un dirigeant passionné qui se trouve être gay. Malgré que Kafka soit hétérosexuel, les deux hommes tombent amoureux, malgré leur différence en matière de sexualité et l'addiction de Kafka à la drogue (Et pas qu'un peu...). Cependant, Kafka a un passé extrêment lourd, qui rend leur relation instable et toxique.
Ce passé justement, est évoqué sous forme de flash-back, comme mentionné plus haut et on en vient à une certaine scène que je viens vous évoquer.
Concernant LA scène : Attention Spoil même si étrangement, on s'attend à ce que ce genre de scène soit présente dans ce type de film torturé : J'ai nommé, un viol ! (Surpris hein ??) Au demeurant scène absolument insoutenable, pour une fois, je ne râle pas envers la censure chinoise...
Certes, pour SCUD (Le réalisateur) c'est inconcevable que l'on ait "bafoué" son oeuvre en censurant cette scène (Mais il a tout de même obtenu de laisser le son derrière les images noires en signe de protestation, le coquinou !) mais je pense que cette partie aurait juste été impossible à regarder tant elle est violente ...
Parce que oui, tout le déroulé de la scène, c'est une image noire où seul le son nous laisse comprendre ce qu'il se passe. C'est dérangeant, on pourrait croire à un bug vidéo, mais non.
Je prends pour exemple la scène de viol dans Irréversible. 11 minutes de souffrance. Sans coupure. J'ai quitté la salle de cinéma ce jour là et je n'ai pu revoir le film que quelques années plus tard. Peut-être étais-je trop jeune aussi... Je ne sais pas comment j'aurai réagi si j'avais dû assister à une version non censurée d'Amphétamine.... Néanmoins, si l'on est suffisamment pris dans le film, les images se forment toutes seules et ça n'enlève rien à l'horreur de cette scène.
Toutefois, cette scène est malheureusement nécessaire à notre compréhension sur le pourquoi du comment concernant la personnalité de Daniel et sa descente aux enfers (Bienvenue chez nous !).
(Allez hop ! Ca c'est cadeau)
Concernant la fin : Re spoil : Elle est à la fois splendide comme dévastatrice. On ne veut pas que ça se termine comme cela et pourtant, en mon fort intérieur, je ne l'aurai pas imaginé autrement.
En bref, je conseille en tout point ce film mais je pense qu'outre avoir la majorité, il faut tout de même une certaine maturité pour réellement l'apprécier à sa juste valeur.
Et voilà le petit dernier dans la catégorie film "un peu spécial".
Je préviens tout de suite ce film divise énormément. Il y aura ceux qui auront vraiment adoré et ceux qui l'aboreront.
Bien entendu, je fais partie de la première catégorie. Pour moi, ce film est juste une pure merveille. Pour peu que l'on soit adepte des films qui te retournent le cerveau et demandent un minimum d'analyse...
C'est très particulier et destiné à un public de niche.
On m'avait offert, il y a longtemps, Kafka sur le rivage, qui m'avait profondément marqué et j'ai beaucoup aimé y voir les nombreuses références.
La façon dont le film est tourné peut rapidement perdre le spectateur s'il n'est pas suffisamment concentré, mêlant flash-back et présent sans réel fondu enchainé ou autre indice précisant que l'on change d'espace temps.
Pour résumer l'histoire, Kafka rencontre un jour Daniel, un dirigeant passionné qui se trouve être gay. Malgré que Kafka soit hétérosexuel, les deux hommes tombent amoureux, malgré leur différence en matière de sexualité et l'addiction de Kafka à la drogue (Et pas qu'un peu...). Cependant, Kafka a un passé extrêment lourd, qui rend leur relation instable et toxique.
Ce passé justement, est évoqué sous forme de flash-back, comme mentionné plus haut et on en vient à une certaine scène que je viens vous évoquer.
Concernant LA scène : Attention Spoil même si étrangement, on s'attend à ce que ce genre de scène soit présente dans ce type de film torturé : J'ai nommé, un viol ! (Surpris hein ??) Au demeurant scène absolument insoutenable, pour une fois, je ne râle pas envers la censure chinoise...
Certes, pour SCUD (Le réalisateur) c'est inconcevable que l'on ait "bafoué" son oeuvre en censurant cette scène (Mais il a tout de même obtenu de laisser le son derrière les images noires en signe de protestation, le coquinou !) mais je pense que cette partie aurait juste été impossible à regarder tant elle est violente ...
Parce que oui, tout le déroulé de la scène, c'est une image noire où seul le son nous laisse comprendre ce qu'il se passe. C'est dérangeant, on pourrait croire à un bug vidéo, mais non.
Je prends pour exemple la scène de viol dans Irréversible. 11 minutes de souffrance. Sans coupure. J'ai quitté la salle de cinéma ce jour là et je n'ai pu revoir le film que quelques années plus tard. Peut-être étais-je trop jeune aussi... Je ne sais pas comment j'aurai réagi si j'avais dû assister à une version non censurée d'Amphétamine.... Néanmoins, si l'on est suffisamment pris dans le film, les images se forment toutes seules et ça n'enlève rien à l'horreur de cette scène.
Toutefois, cette scène est malheureusement nécessaire à notre compréhension sur le pourquoi du comment concernant la personnalité de Daniel et sa descente aux enfers (Bienvenue chez nous !).
(Allez hop ! Ca c'est cadeau)
Concernant la fin : Re spoil : Elle est à la fois splendide comme dévastatrice. On ne veut pas que ça se termine comme cela et pourtant, en mon fort intérieur, je ne l'aurai pas imaginé autrement.
En bref, je conseille en tout point ce film mais je pense qu'outre avoir la majorité, il faut tout de même une certaine maturité pour réellement l'apprécier à sa juste valeur.
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