13-11-2021, 07:51
Chroneek d'une geek #2
L'hiver est bien installé. Avachie dans mon gros fauteuil de velours, j'entends les âmes de l'enfer crier en harmonie sous la torture qu'on leur inflige et je soupire d'aise sous ce son mélodieux en sirotant un café brûlant.
Vivement que je puisse faire crépiter un feu dans l'âtre de la cheminée... Il va d'ailleurs falloir que je pense à aller acheter quelques os bien secs pour l'alimenter. Mes lèvres sur le rebord de la tasse, je tourne légèrement la tête vers la fenêtre et manque de m'étouffer à la vue de la tête verte furibonde qui apparaît dans mon champ de vision, quelques miettes de chips aux crevettes au coin des lèvres et une canette de Monster à la main.
Dis-donc ! C'est pas parce que c'était la fête des morts il y a peu qu'il faut que tu les imites ! T'as pas autre chose à faire, feignasse ?!Merde ! Ma chronique !
Dramas |
Japon - Drame - 12 X 25 mins
Video Girl Ai est de tous les temps, le manga qui m'a le plus marqué.
Il fait parti de mes premières collections.
Je suis devenue par la suite une fan inconditionnelle de Masakazu Katsura (Que j'ai eu la chance de rencontrer !!) et j'ai l'intégralité de ses oeuvres (Même celles qui ne sont jamais sorties en France).
Pour ceux qui ne connaissent pas, Video Girl Aï, raconte l'histoire d'un mystérieux vidéo club qui apparait comme par enchantement face aux pauvres garçons en mal d'amour.
A l'intérieur, une multitude de cassettes vidéo à leur disposition, proposant différentes filles aux profils différents. "Je te consolerai", "Je te redonnerai goût à la vie", "Je te ferai des pâtes au Pesto", etc... Bref, tout un panel...
S'imaginant pouvoir se taper leur meilleur porno, ces jeunes hommes choisissent la minette correspondant à leur gout et kleenex en main, en avant guingamp pour une bonne soirée. Cependant, après quelques minutes de visionnage, la demoiselle faute de se déshabiller à l'écran, fait irruption dans le salon et entame alors la chose pour laquelle elle est là, à savoir, remettre le gamin sur pied et cela dans un délai de 3 mois, sous réserve que la cassette continue de tourner dans le magnéto. Voilà brièvement ce que raconte les Video Girl.
(C'est quand qu'elle se fout à poil ?!)
Ca fait un bon scénar de porno n'est-ce pas ? Bah c'est un peu le but...
Toutes les oeuvres de Katsura sont destinées à un public masculin, les jupes des minettes ayant souvent tendance à être incroyablement courtes... Mais Video Girl Aï reste soft dans le domaine (Contrairement à Zetman qui n'est pas taggé Seinen pour rien, ou encore M, qui est très penché érotisme).
J'avais beaucoup aimé le film de 1991, parfaitement fidèle au manga, retranscrivant l'histoire de Yota et Aï.
En revanche, je n'ai pas pu regarder l'adaptation drama de 2018... Pour moi, ce n'est plus le Video Girl Aï que je connais et je ne voulais pas salir mes souvenirs.
Pour en venir à pourquoi j'ai regardé alors, Video girl Mai 2019, qui comme son homologue, se passe de nombreuses années après l'histoire originale, c'est tout simplement parce que Maï, bien qu'étant un personnage mineur de la série, était la video girl que je préférais.
Alors oui, elle est l'antagoniste même de la maladroite et gentille petite Aï et c'est justement ce qui me plaisait chez elle.
Ici, on est loin de l'histoire douce et romantique, ponctuée d'humour (Bien que par instant dramatique), qu'est Video Girl Aï.
Maï est manipulatrice, émancipée et incroyablement égoïste au point qu'elle en est dangereuse.
Chaque homme croisant son chemin d'ailleurs, ne s'en sort pas indemne et sombre indéniablement dans la folie.
J'ai aimé l'évolution de la relation entre les deux personnages principaux.
A contrario des autres, Taketo n'est pas tombé immédiatement sous le charme de Maï et n'a pas cherché à lui grimper dessus comme la majorité de ceux ayant un pénis dans l'histoire.
C'est sombre et dérangeant et l'histoire est très lente.
Néanmoins, je n'ai pas eu l'impression de m'ennuyer et j'ai trouvé l'actrice interprétant Maï juste parfaite ! (Elle a le regard adéquat !)
Aussi, je conseille Video Girl Maï même si ce n'est pas le drama de l'année.
Les épisodes de 25 minutes permettent de ne pas voir passer le temps.
(Je vais dévorer ton âme mais tu ne le sais pas encore)
Video Girl Ai est de tous les temps, le manga qui m'a le plus marqué.
Il fait parti de mes premières collections.
Je suis devenue par la suite une fan inconditionnelle de Masakazu Katsura (Que j'ai eu la chance de rencontrer !!) et j'ai l'intégralité de ses oeuvres (Même celles qui ne sont jamais sorties en France).
Pour ceux qui ne connaissent pas, Video Girl Aï, raconte l'histoire d'un mystérieux vidéo club qui apparait comme par enchantement face aux pauvres garçons en mal d'amour.
A l'intérieur, une multitude de cassettes vidéo à leur disposition, proposant différentes filles aux profils différents. "Je te consolerai", "Je te redonnerai goût à la vie", "Je te ferai des pâtes au Pesto", etc... Bref, tout un panel...
S'imaginant pouvoir se taper leur meilleur porno, ces jeunes hommes choisissent la minette correspondant à leur gout et kleenex en main, en avant guingamp pour une bonne soirée. Cependant, après quelques minutes de visionnage, la demoiselle faute de se déshabiller à l'écran, fait irruption dans le salon et entame alors la chose pour laquelle elle est là, à savoir, remettre le gamin sur pied et cela dans un délai de 3 mois, sous réserve que la cassette continue de tourner dans le magnéto. Voilà brièvement ce que raconte les Video Girl.
(C'est quand qu'elle se fout à poil ?!)
Ca fait un bon scénar de porno n'est-ce pas ? Bah c'est un peu le but...
Toutes les oeuvres de Katsura sont destinées à un public masculin, les jupes des minettes ayant souvent tendance à être incroyablement courtes... Mais Video Girl Aï reste soft dans le domaine (Contrairement à Zetman qui n'est pas taggé Seinen pour rien, ou encore M, qui est très penché érotisme).
J'avais beaucoup aimé le film de 1991, parfaitement fidèle au manga, retranscrivant l'histoire de Yota et Aï.
En revanche, je n'ai pas pu regarder l'adaptation drama de 2018... Pour moi, ce n'est plus le Video Girl Aï que je connais et je ne voulais pas salir mes souvenirs.
Pour en venir à pourquoi j'ai regardé alors, Video girl Mai 2019, qui comme son homologue, se passe de nombreuses années après l'histoire originale, c'est tout simplement parce que Maï, bien qu'étant un personnage mineur de la série, était la video girl que je préférais.
Alors oui, elle est l'antagoniste même de la maladroite et gentille petite Aï et c'est justement ce qui me plaisait chez elle.
Ici, on est loin de l'histoire douce et romantique, ponctuée d'humour (Bien que par instant dramatique), qu'est Video Girl Aï.
Maï est manipulatrice, émancipée et incroyablement égoïste au point qu'elle en est dangereuse.
Chaque homme croisant son chemin d'ailleurs, ne s'en sort pas indemne et sombre indéniablement dans la folie.
J'ai aimé l'évolution de la relation entre les deux personnages principaux.
A contrario des autres, Taketo n'est pas tombé immédiatement sous le charme de Maï et n'a pas cherché à lui grimper dessus comme la majorité de ceux ayant un pénis dans l'histoire.
C'est sombre et dérangeant et l'histoire est très lente.
Néanmoins, je n'ai pas eu l'impression de m'ennuyer et j'ai trouvé l'actrice interprétant Maï juste parfaite ! (Elle a le regard adéquat !)
Aussi, je conseille Video Girl Maï même si ce n'est pas le drama de l'année.
Les épisodes de 25 minutes permettent de ne pas voir passer le temps.
(Je vais dévorer ton âme mais tu ne le sais pas encore)
Japon - Romance - 6 X 30 mins
Mon premier drama visionné entièrement en anglais !
J'avais trouvé une traduction en français mais celle-ci était d'une telle mauvaise qualité que je n'ai pas pu tenir plus d'un quart du premier épisode.
Finalement, je m'en suis plutôt bien sortie !
Venons en au drama. Concernant le synopsis.
Nous assistons au débat entre une jeune femme et son estomac, qui faute d'un trop plein d'alcool, rend son déjeuner en direct live. Manque de bol, un beau jeune homme est là.
Planté comme un piquet à côté et la regarde. Chelou le bonhomme...
(Il t'en reste un peu...)
La belle se carapate alors et prie Dieu pour ne plus jamais avoir à rencontrer le bonhomme mais comme Dieu semble de toute évidence avoir été invité à la fête et doit être complètement plein comme un cartable, il comprend tout de travers et hop ! Voilà que le minet arrive comme nouvel employé dans la boite de la trop fragile jeune fille !
Car fragile OUI elle l'est !!! En voilà encore une qui était partie pisser quand on a distribué le caractère...
Le drama est bizarrement fichu.
Dès le début, les choses vont TRES vite ! On a presque l'impression que l'on a prit les épisodes dans le désordre.
Anzu, car c'est comme ça qu'elle s'appelle, n'a définitivement aucun libre arbitre !
Tetsuya (le fanatique du vomi), bien qu'ayant l'air d'avoir 12 ans, met son veto sur la demoiselle et il en fait littéralement ce qu'il veut, dés le premier épisode ! Oh ! Et attention ! On est dans un shojo/josei hein ! Donc n'oublions pas le triangle amoureux ! Hop ! C'est chose faite ! Dés le début également, on rajoute un ptit beau gosse qui lui aussi, frétille déjà pour la cruchette. Voilà. Je viens de vous résumer le premier épisode.
(Hop ! Sandwich !)
Heureusement qu'il n'y a que 6 épisodes car sinon à la fin du drama, on assisterait certainement aux décès DE VIEILLIESSE des protagonistes et peut-être même aux premiers amours de leur descendance tant les étapes sont bâclées.
Les épisodes qui suivent sont du même acabit...
On vous balance tout ce qui constitue un drama de 16 épisodes de 45 minutes en 6 de 23 minutes, l'héroïne manque tellement de tout qu'elle cède à tout, se prend des couteaux dans l'dos de chaque côté, revend son sourire à tout va faute de savoir réfléchir, bref, elle est conne comme c'est pas permis ! Honnêtement, je pense qu'ils ont voulu faire une série pour contenter les frustrés qui râlent du manque de scènes un peu hot dans les romances (Et je suis la première concernée hein !) et à l'écriture du scénar ils se sont dit "Oh ! Mais faut une histoire aussi ! Vas y Roger, balance tout d'un coup !". Et encore... Les scènes "hot" hein... Elles consistent principalement à ce que le "héro" enfouisse son visage les trois quart du temps dans le cou de l'"héroïne" en malmenant ses vêtements... Il doit avoir un problème de cervicales pour avoir du mal à garder la tête droite ce pauvre garçon. C'est ça de grandir trop vite...
(Notez à quel point elle a l'air de s'éclater...)
En bref, ce drama est prodigieusement nul !
Je me demande quand ils seront capables de contenter les jeunes adultes que nous sommes sans nous offrir un porno ou un drama dans le genre où ils pensent que les femmes ne fantasment que sur les Mâles Lead absolument détestables, auxquels elles sont absolument incapable de tenir tête ! (Même si pour cela il faut qu'elles montent sur une échelle...)
(Regardez comme elle est terrorisée à chaque fois qu'il la chope !)
Et allez, je vais vous en mettre deux petites dernières pour illustrer la mentalité de cet escroc de l'amour et de cette handicapée du libre arbitre...
(Décrypteur de pensée : "Merde... Comment je me débarrasse d'elle maintenant ?" et " Ah bah il a trouvé...")
Epargnez-vous la souffrance de regarder cette merde. Mâtez-vous un bon Disney à la place.
Mon premier drama visionné entièrement en anglais !
J'avais trouvé une traduction en français mais celle-ci était d'une telle mauvaise qualité que je n'ai pas pu tenir plus d'un quart du premier épisode.
Finalement, je m'en suis plutôt bien sortie !
Venons en au drama. Concernant le synopsis.
Nous assistons au débat entre une jeune femme et son estomac, qui faute d'un trop plein d'alcool, rend son déjeuner en direct live. Manque de bol, un beau jeune homme est là.
Planté comme un piquet à côté et la regarde. Chelou le bonhomme...
(Il t'en reste un peu...)
La belle se carapate alors et prie Dieu pour ne plus jamais avoir à rencontrer le bonhomme mais comme Dieu semble de toute évidence avoir été invité à la fête et doit être complètement plein comme un cartable, il comprend tout de travers et hop ! Voilà que le minet arrive comme nouvel employé dans la boite de la trop fragile jeune fille !
Car fragile OUI elle l'est !!! En voilà encore une qui était partie pisser quand on a distribué le caractère...
Le drama est bizarrement fichu.
Dès le début, les choses vont TRES vite ! On a presque l'impression que l'on a prit les épisodes dans le désordre.
Anzu, car c'est comme ça qu'elle s'appelle, n'a définitivement aucun libre arbitre !
Tetsuya (le fanatique du vomi), bien qu'ayant l'air d'avoir 12 ans, met son veto sur la demoiselle et il en fait littéralement ce qu'il veut, dés le premier épisode ! Oh ! Et attention ! On est dans un shojo/josei hein ! Donc n'oublions pas le triangle amoureux ! Hop ! C'est chose faite ! Dés le début également, on rajoute un ptit beau gosse qui lui aussi, frétille déjà pour la cruchette. Voilà. Je viens de vous résumer le premier épisode.
(Hop ! Sandwich !)
Heureusement qu'il n'y a que 6 épisodes car sinon à la fin du drama, on assisterait certainement aux décès DE VIEILLIESSE des protagonistes et peut-être même aux premiers amours de leur descendance tant les étapes sont bâclées.
Les épisodes qui suivent sont du même acabit...
On vous balance tout ce qui constitue un drama de 16 épisodes de 45 minutes en 6 de 23 minutes, l'héroïne manque tellement de tout qu'elle cède à tout, se prend des couteaux dans l'dos de chaque côté, revend son sourire à tout va faute de savoir réfléchir, bref, elle est conne comme c'est pas permis ! Honnêtement, je pense qu'ils ont voulu faire une série pour contenter les frustrés qui râlent du manque de scènes un peu hot dans les romances (Et je suis la première concernée hein !) et à l'écriture du scénar ils se sont dit "Oh ! Mais faut une histoire aussi ! Vas y Roger, balance tout d'un coup !". Et encore... Les scènes "hot" hein... Elles consistent principalement à ce que le "héro" enfouisse son visage les trois quart du temps dans le cou de l'"héroïne" en malmenant ses vêtements... Il doit avoir un problème de cervicales pour avoir du mal à garder la tête droite ce pauvre garçon. C'est ça de grandir trop vite...
(Notez à quel point elle a l'air de s'éclater...)
En bref, ce drama est prodigieusement nul !
Je me demande quand ils seront capables de contenter les jeunes adultes que nous sommes sans nous offrir un porno ou un drama dans le genre où ils pensent que les femmes ne fantasment que sur les Mâles Lead absolument détestables, auxquels elles sont absolument incapable de tenir tête ! (Même si pour cela il faut qu'elles montent sur une échelle...)
(Regardez comme elle est terrorisée à chaque fois qu'il la chope !)
Et allez, je vais vous en mettre deux petites dernières pour illustrer la mentalité de cet escroc de l'amour et de cette handicapée du libre arbitre...
(Décrypteur de pensée : "Merde... Comment je me débarrasse d'elle maintenant ?" et " Ah bah il a trouvé...")
Epargnez-vous la souffrance de regarder cette merde. Mâtez-vous un bon Disney à la place.
Thaïlande - Romance/Fantastique/Gay - 8 X 60 mins
Z'avez vu ? Pour ce drama dans la catégorie "spécial", je vous épargne un truc chelou plein de cul, de sang ou autres trucs dérangeants !
Non, blague à part, c'est surtout que je voulais pouvoir parler d'un drama thaïlandais, l'un des premiers que j'ai vu d'ailleurs, que j'ai tout particulièrement aimé.
Cette chose est suffisamment rare pour que je le souligne, les dramas thaï me tapant prodigieusement sur les nerfs la plupart du temps, mais celui-ci, je sais pas, il a son petit quelque chose qui a fait qu'aujourd'hui, je m'en rappelle encore (Et oui, je vous dupe avec les reviews. Je ne les ai pas regardé forcément la veille )
Il est une légende Thaïlandaise, qui raconte que lors de votre mort, votre âme attend patiemment au cimetière, le jour où elle sera réincarnée. Ici, l'histoire nous raconte donc comment Met, un gentil fantôme, attends depuis plusieurs années durant, le jour où il pourra de nouveau fouler le plancher des vaches. Cependant, sans réellement savoir pourquoi, les années défilent, mais personne ne vient jamais se recueillir sur sa tombe et le jour tant attendu peine à venir.
Il semblerait que quelque chose d'inaccompli lors de son vivant, empêche son âme de trouver le repos.
Un jour, alors qu'il assiste comme chaque année, le coeur gros, à la Journée des Ancêtres, triste de constater que personne une fois de plus ne viendra lui rendre visite, il semble qu'un petit garçon soit capable de le voir et s'approche de lui pour lui offrir un bonbon.
Alors, chaque année durant, Met attend patiemment le retour de ce petit garçon qui ne manque pas un seul rendez-vous, réchauffant le coeur de notre petit fantôme.
Hélas, au bout de quelques années, le petit garçon ne vient plus et de nouveau, notre héros sombre dans la solitude.
Mais voilà que le petit garçon a bien grandi aujourd'hui et un jour, il réapparait de nouveau au cimetière et commence alors notre histoire.
Thun narre alors à Met toutes les choses qui ont évolué dans le monde depuis sa mort et leur amitié grandit de jour en jour.
Mais bientôt Met exprime le désir de pouvoir voir le monde de ses propres yeux, mais hélas son âme est rattachée au cimetière et il ne peut pas sortir de son enceinte. Thun, comprenant que le fantôme devient "palpable" lorsque de l'encens brûle à ses côtés, investi dans tout un florilège d'encens électronique à piles (Je savais même pas que ça existait !) et il peut dés lors, emmener son ami outre frontière et même le faire vivre chez lui, à condition qu'il ne touche à aucun des encens qui jonchent à présent les meubles du petit appartement.
Nous pourrons dés lors avec eux, essayer de comprendre ce qui retient Met dans le monde des morts.
L'histoire est joliment contée et s'agissant d'un BL, bien entendu, l'amitié finira par se transformer en amour, mais cette fois les choses coulent de source et dans chaque épisode, nous avons un savant mélange d'humour et de sentiment.
Les deux acteurs interprètent leur rôle avec brio et pour une fois dans un drama Thaï, il y a une réelle histoire et les personnages ne nous donnent pas de furieuses envie de meurtre.
He's coming to me est touchant par sa sincérité et l'histoire de Met ne peut pas vous laisser indifférent.
J'ai eu personnellement un gros coup de coeur pour cet acteur et j'ai tenté au mieux, de regarder toutes les oeuvres disponibles avec lui. On constatera d'ailleurs qu'il ne compte que très peu de BL à son actif et c'est tant mieux !!
Je vous laisse donc regarder ce petit drama, honnêtement il vaut le coup d'oeil.
Z'avez vu ? Pour ce drama dans la catégorie "spécial", je vous épargne un truc chelou plein de cul, de sang ou autres trucs dérangeants !
Non, blague à part, c'est surtout que je voulais pouvoir parler d'un drama thaïlandais, l'un des premiers que j'ai vu d'ailleurs, que j'ai tout particulièrement aimé.
Cette chose est suffisamment rare pour que je le souligne, les dramas thaï me tapant prodigieusement sur les nerfs la plupart du temps, mais celui-ci, je sais pas, il a son petit quelque chose qui a fait qu'aujourd'hui, je m'en rappelle encore (Et oui, je vous dupe avec les reviews. Je ne les ai pas regardé forcément la veille )
Il est une légende Thaïlandaise, qui raconte que lors de votre mort, votre âme attend patiemment au cimetière, le jour où elle sera réincarnée. Ici, l'histoire nous raconte donc comment Met, un gentil fantôme, attends depuis plusieurs années durant, le jour où il pourra de nouveau fouler le plancher des vaches. Cependant, sans réellement savoir pourquoi, les années défilent, mais personne ne vient jamais se recueillir sur sa tombe et le jour tant attendu peine à venir.
Il semblerait que quelque chose d'inaccompli lors de son vivant, empêche son âme de trouver le repos.
Un jour, alors qu'il assiste comme chaque année, le coeur gros, à la Journée des Ancêtres, triste de constater que personne une fois de plus ne viendra lui rendre visite, il semble qu'un petit garçon soit capable de le voir et s'approche de lui pour lui offrir un bonbon.
Alors, chaque année durant, Met attend patiemment le retour de ce petit garçon qui ne manque pas un seul rendez-vous, réchauffant le coeur de notre petit fantôme.
Hélas, au bout de quelques années, le petit garçon ne vient plus et de nouveau, notre héros sombre dans la solitude.
Mais voilà que le petit garçon a bien grandi aujourd'hui et un jour, il réapparait de nouveau au cimetière et commence alors notre histoire.
Thun narre alors à Met toutes les choses qui ont évolué dans le monde depuis sa mort et leur amitié grandit de jour en jour.
Mais bientôt Met exprime le désir de pouvoir voir le monde de ses propres yeux, mais hélas son âme est rattachée au cimetière et il ne peut pas sortir de son enceinte. Thun, comprenant que le fantôme devient "palpable" lorsque de l'encens brûle à ses côtés, investi dans tout un florilège d'encens électronique à piles (Je savais même pas que ça existait !) et il peut dés lors, emmener son ami outre frontière et même le faire vivre chez lui, à condition qu'il ne touche à aucun des encens qui jonchent à présent les meubles du petit appartement.
Nous pourrons dés lors avec eux, essayer de comprendre ce qui retient Met dans le monde des morts.
L'histoire est joliment contée et s'agissant d'un BL, bien entendu, l'amitié finira par se transformer en amour, mais cette fois les choses coulent de source et dans chaque épisode, nous avons un savant mélange d'humour et de sentiment.
Les deux acteurs interprètent leur rôle avec brio et pour une fois dans un drama Thaï, il y a une réelle histoire et les personnages ne nous donnent pas de furieuses envie de meurtre.
He's coming to me est touchant par sa sincérité et l'histoire de Met ne peut pas vous laisser indifférent.
J'ai eu personnellement un gros coup de coeur pour cet acteur et j'ai tenté au mieux, de regarder toutes les oeuvres disponibles avec lui. On constatera d'ailleurs qu'il ne compte que très peu de BL à son actif et c'est tant mieux !!
Je vous laisse donc regarder ce petit drama, honnêtement il vaut le coup d'oeil.
Animés |
Japon - Fantasy - 13 X 24 mins
L'histoire raconte la guerre entre le Roi Démon et les humains (Encore et toujours....).
Le Roi Démon, las de cette guerre durant déjà depuis trop longtemps, décide d'y mettre un terme en se laissant tuer, offrant ainsi une garantie de paix entre les deux peuples pendant 2000 ans, date de sa réincarnation.
C'est qu'il est plutôt sympa pour un Roi Démon hein ? Bah ouais, c'est pas toujours ceux qu'on croit qui ont le mauvais rôle.
(Ouais, il est sexy sauvage notre Roi des enfers)
Nous voilà donc 2000 ans plus tard, Anos, notre petit Roi Démon foule de nouveau le plancher des vaches, comme après s'être réveillé d'une bonne grosse sieste.
Cependant, afin de gagner de nouveau sa place, il doit intégrer la prestigieuse Academy Maou, celle formant les démons à devenir le futur Roi Démon.
Un problème, tout le monde semble dire que leur ancêtre ne portait pas le nom qu'il avance lorsqu'il se présente comme étant leur "Papy".
Il va donc devoir savoir qui a usurpé son identité en vu de devenir, ce jour, le nouveau Roi Démon.
J'avais téléchargé ça sans réelle conviction, le thème offrant toujouuuuurs la même chose et d'habitude, je passe mon tour sans même chercher à regarder le premier épisode.
Bah finalement, je suis agréablement surprise !
Dès le premier épisode, je me suis laissée porter et sans même m'en rendre compte, j'avais terminé la première saison.
Bon certes, on échappe pas au cliché du genre... Le héros est super badass, limite increvable (En même temps, c'est le Roi Démon hein...). Regardez un peu :
(Tous les jours, au p'tit dej, je balance des châteaux. Et toi ? C'est quoi ta came ?)
Il a toute une ribambelle de nana autour mais à contrario des autres animés du genre, elles n'ont pas de boobs qui mettent tous les osteos en PLS et on nous épargne le fan service !!! Chose que je trouve rédhibitoire dans un animé...Quand à la base, il n'est pas fait QUE pour ça, of course.
Le meilleur pote est canon, mystérieux mais attention, faut qu'il reste moins fort que le héro, toussa toussa.
Le meilleur pote... D'ailleurs... Ca donne envie d'aller fureter dans le coin moi j'vous dis...
Mais vraiment, ça a été une bonne découverte et j'attends la saison 2 avec impatience.
Alors si comme moi, les animés dans le genre ça vous hérisse le poil par leur manque d'originalité, je vous conseille tout de même de lui laisser une chance. Il a ce petit plus qui le différencie aisément des autres.
L'histoire raconte la guerre entre le Roi Démon et les humains (Encore et toujours....).
Le Roi Démon, las de cette guerre durant déjà depuis trop longtemps, décide d'y mettre un terme en se laissant tuer, offrant ainsi une garantie de paix entre les deux peuples pendant 2000 ans, date de sa réincarnation.
C'est qu'il est plutôt sympa pour un Roi Démon hein ? Bah ouais, c'est pas toujours ceux qu'on croit qui ont le mauvais rôle.
(Ouais, il est sexy sauvage notre Roi des enfers)
Nous voilà donc 2000 ans plus tard, Anos, notre petit Roi Démon foule de nouveau le plancher des vaches, comme après s'être réveillé d'une bonne grosse sieste.
Cependant, afin de gagner de nouveau sa place, il doit intégrer la prestigieuse Academy Maou, celle formant les démons à devenir le futur Roi Démon.
Un problème, tout le monde semble dire que leur ancêtre ne portait pas le nom qu'il avance lorsqu'il se présente comme étant leur "Papy".
Il va donc devoir savoir qui a usurpé son identité en vu de devenir, ce jour, le nouveau Roi Démon.
J'avais téléchargé ça sans réelle conviction, le thème offrant toujouuuuurs la même chose et d'habitude, je passe mon tour sans même chercher à regarder le premier épisode.
Bah finalement, je suis agréablement surprise !
Dès le premier épisode, je me suis laissée porter et sans même m'en rendre compte, j'avais terminé la première saison.
Bon certes, on échappe pas au cliché du genre... Le héros est super badass, limite increvable (En même temps, c'est le Roi Démon hein...). Regardez un peu :
(Tous les jours, au p'tit dej, je balance des châteaux. Et toi ? C'est quoi ta came ?)
Il a toute une ribambelle de nana autour mais à contrario des autres animés du genre, elles n'ont pas de boobs qui mettent tous les osteos en PLS et on nous épargne le fan service !!! Chose que je trouve rédhibitoire dans un animé...Quand à la base, il n'est pas fait QUE pour ça, of course.
Le meilleur pote est canon, mystérieux mais attention, faut qu'il reste moins fort que le héro, toussa toussa.
Le meilleur pote... D'ailleurs... Ca donne envie d'aller fureter dans le coin moi j'vous dis...
Mais vraiment, ça a été une bonne découverte et j'attends la saison 2 avec impatience.
Alors si comme moi, les animés dans le genre ça vous hérisse le poil par leur manque d'originalité, je vous conseille tout de même de lui laisser une chance. Il a ce petit plus qui le différencie aisément des autres.
Japon - Comédie/Fantasy - 13 X 4 mins
Vraiment l'éclate avec pourtant pas grand chose !!
Un mec lambda qui trouve un triton échoué sur la plage et qui, comme tout le monde l'aurait fait hein, le ramène à la maison pour faire trempette dans sa baignoire.
13 petits épisodes d'un slice of life bourré d'humour où l'on aura plaisir à rencontrer tous les amis de notre petit triton.
Un poulpe super habile et bourru, une méduse toute douce et un Bernard l'ermite qui se victimise lui-même.
Bien entendu, tous ne sont que des beaux gosses tout droit sorti d'un conte de fée, si bien que ça te donne furieusement envie de rejoindre les fonds marins pour y installer ton fief.
Il n'y a pas matière à faire une review très longue, le format étant déjà très court et s'agissant d'un simple animé épisodique slice of life, il est difficile de faire quelque chose de constructif.
(Mangez du poulpe ! C'est bon pour la santé !)
Wakasa, notre petit triton est d'une naïveté affligeante et c'est ce qui le rend si attendrissant.
Tatsumi quant à lui, fait preuve d'une patience à toute épreuve. Je pense qu'il y a longtemps que j'aurai transformé la légende en sushi pour ma part...
Tout ça pour dire, que je recommande grandement ce petit animé bien trop court, pour rigoler un bon coup !
Ce n'est vraiment pas à prendre au sérieux, le format ultra court ne vous fera pas perdre une nageoire et honnêtement, j'ai pris des barres comme je n'en avais pas eu depuis longtemps !
(Et oui, les tritons, méduses, poulpes et bernard l'ermite, ça fête aussi Halloween !)
Vraiment l'éclate avec pourtant pas grand chose !!
Un mec lambda qui trouve un triton échoué sur la plage et qui, comme tout le monde l'aurait fait hein, le ramène à la maison pour faire trempette dans sa baignoire.
13 petits épisodes d'un slice of life bourré d'humour où l'on aura plaisir à rencontrer tous les amis de notre petit triton.
Un poulpe super habile et bourru, une méduse toute douce et un Bernard l'ermite qui se victimise lui-même.
Bien entendu, tous ne sont que des beaux gosses tout droit sorti d'un conte de fée, si bien que ça te donne furieusement envie de rejoindre les fonds marins pour y installer ton fief.
Il n'y a pas matière à faire une review très longue, le format étant déjà très court et s'agissant d'un simple animé épisodique slice of life, il est difficile de faire quelque chose de constructif.
(Mangez du poulpe ! C'est bon pour la santé !)
Wakasa, notre petit triton est d'une naïveté affligeante et c'est ce qui le rend si attendrissant.
Tatsumi quant à lui, fait preuve d'une patience à toute épreuve. Je pense qu'il y a longtemps que j'aurai transformé la légende en sushi pour ma part...
Tout ça pour dire, que je recommande grandement ce petit animé bien trop court, pour rigoler un bon coup !
Ce n'est vraiment pas à prendre au sérieux, le format ultra court ne vous fera pas perdre une nageoire et honnêtement, j'ai pris des barres comme je n'en avais pas eu depuis longtemps !
(Et oui, les tritons, méduses, poulpes et bernard l'ermite, ça fête aussi Halloween !)
Japon - Yaoï - 13 X 24 mins +18 ans
Allez, parlons Yaoï.
Dans le genre animé, rare de pouvoir trouver de "bons yaoï". Bien que l'époque soit propice au genre, les animés yaoï ont fusé il y a quelques années pour plus ou moins disparaître.
Maintenant, quelques nouveaux réapparaissent mais les adaptations sont souvent plus soft que le manga et honnêtement, je ne sais pas pourquoi...
Je me suis toujours demandée pourquoi faire une adaptation d'une oeuvre, que ça soit en animé ou film/drama, pour la censurer à balle !! Si déjà l'oeuvre a trouvé son public sous sa forme originale, ce n'est pas en enlevant les scènes de violence extrême ou quelque peu olé-olé que ça touchera un plus large public... Ca ne fera que décevoir les vrais fans et ça dénature tout... Bref !
Prenons par exemple My number one (Oui, je l'appellerai comme ça parce que le nom japonais défie les lois de l'orthographe...Je l'ai même raccourci dans le titre.).
J'étais tombé sur l'animé et l'avais trouvé plutôt pas mal. Constatant que le manga était toujours en cours, j'ai décidé de me les acheter histoire de pouvoir voir si l'adaptation était fidèle et surtout, pouvoir voir une suite.
Et bien... Dés le premier épisode la censure est plus que présente...
Commençons par expliquer de quoi retourne ce petit yaoï.
Takato est un acteur extrêmement populaire, que toutes les femmes s'arrachent et il ne se prive pas de se faire mousser à qui veut bien l'entendre. Un jour, en rentrant du travail, il s'arrête dans une papeterie pour acheter le dernier magazine mentionnant le number one du showbiz et surprise ! Le voilà relégué au second plan, derrière un petit jeune tout nouveau dans le métier, Junta.
(Ca me touche même pas !)
Bien entendu, les deux ne tardent pas à être réuni au sein d'un même film et la guéguerre commence.
Takato exècre Junta mais l'inverse est bien différent. Le petit jeune voue une admiration sans faille pour son ainé et pas que... Si vous voyez ce que je veux dire.
Alors ici, le consentement, on oublie hein !
Junta, sous ses allures de petit ange tout souriant est un putain de pervers et on revient justement à ce que je disais plus haut.
Dans l'animé, après une bonne cuite, Takato se retrouve au pieu avec le blondinet et il semble que sous les affres de l'alcool, il ait promis quelques petites choses, qu'il ne semble plus du tout disposé à offrir à présent.
Il tente de se carapater et se cache dans la salle de bain.
(Chouette ! On joue à cache-cache !)
Petite course poursuite dans la maison qui semble faire des kilomètres, la porte valdingue et hop ! Le blondinet s'empare de ce qu'il convoite.
On comprend parfaitement qu'ils n'ont pas joué aux cartes mais la scène reste plus ou moins "mignonne" (J'avoue ne pas avoir trouvé d'adjectif pour la qualifier...).
La différence avec le manga ?
Ah bah ça part littéralement sur du chantage et une bonne grosse scène de viol...
Moins fun du coup. Je comprends la censure.
Mais c'est justement ça le problème avec My Number one, c'est qu'il n'y a aucune crédibilité.
Junta est mort de faim en permanence, on a tendance à oublier bien rapidement qu'à la base Takato est hétéro hein ! Bah de toute évidence il est conditionné pour recevoir tous les assauts de l'autre sans réelles conséquences...
(Le signal du mode "Adulte")
Bref... C'est un yaoï qui plaira à ceux/celles qui n'aiment le genre que "parcequecesttropbeaudesmecsquisechopent" mais décevra les personnes comme moi qui aime le genre quand il est un minimum plausible, que les scènes de cul sont justifiées (autre que par une faim démesurée) et que le viol n'est pas banalisé !!! Ca, ça me fait péter les plombs ! Et c'est clairement le cas ici....(Et je vais en reparler dans la catégorie film...)
Ajoutons un bon point à cet animé, il est drôle.
C'est déjà pas mal hein ?
Allez, parlons Yaoï.
Dans le genre animé, rare de pouvoir trouver de "bons yaoï". Bien que l'époque soit propice au genre, les animés yaoï ont fusé il y a quelques années pour plus ou moins disparaître.
Maintenant, quelques nouveaux réapparaissent mais les adaptations sont souvent plus soft que le manga et honnêtement, je ne sais pas pourquoi...
Je me suis toujours demandée pourquoi faire une adaptation d'une oeuvre, que ça soit en animé ou film/drama, pour la censurer à balle !! Si déjà l'oeuvre a trouvé son public sous sa forme originale, ce n'est pas en enlevant les scènes de violence extrême ou quelque peu olé-olé que ça touchera un plus large public... Ca ne fera que décevoir les vrais fans et ça dénature tout... Bref !
Prenons par exemple My number one (Oui, je l'appellerai comme ça parce que le nom japonais défie les lois de l'orthographe...Je l'ai même raccourci dans le titre.).
J'étais tombé sur l'animé et l'avais trouvé plutôt pas mal. Constatant que le manga était toujours en cours, j'ai décidé de me les acheter histoire de pouvoir voir si l'adaptation était fidèle et surtout, pouvoir voir une suite.
Et bien... Dés le premier épisode la censure est plus que présente...
Commençons par expliquer de quoi retourne ce petit yaoï.
Takato est un acteur extrêmement populaire, que toutes les femmes s'arrachent et il ne se prive pas de se faire mousser à qui veut bien l'entendre. Un jour, en rentrant du travail, il s'arrête dans une papeterie pour acheter le dernier magazine mentionnant le number one du showbiz et surprise ! Le voilà relégué au second plan, derrière un petit jeune tout nouveau dans le métier, Junta.
(Ca me touche même pas !)
Bien entendu, les deux ne tardent pas à être réuni au sein d'un même film et la guéguerre commence.
Takato exècre Junta mais l'inverse est bien différent. Le petit jeune voue une admiration sans faille pour son ainé et pas que... Si vous voyez ce que je veux dire.
Alors ici, le consentement, on oublie hein !
Junta, sous ses allures de petit ange tout souriant est un putain de pervers et on revient justement à ce que je disais plus haut.
Dans l'animé, après une bonne cuite, Takato se retrouve au pieu avec le blondinet et il semble que sous les affres de l'alcool, il ait promis quelques petites choses, qu'il ne semble plus du tout disposé à offrir à présent.
Il tente de se carapater et se cache dans la salle de bain.
(Chouette ! On joue à cache-cache !)
Petite course poursuite dans la maison qui semble faire des kilomètres, la porte valdingue et hop ! Le blondinet s'empare de ce qu'il convoite.
On comprend parfaitement qu'ils n'ont pas joué aux cartes mais la scène reste plus ou moins "mignonne" (J'avoue ne pas avoir trouvé d'adjectif pour la qualifier...).
La différence avec le manga ?
Ah bah ça part littéralement sur du chantage et une bonne grosse scène de viol...
Moins fun du coup. Je comprends la censure.
Mais c'est justement ça le problème avec My Number one, c'est qu'il n'y a aucune crédibilité.
Junta est mort de faim en permanence, on a tendance à oublier bien rapidement qu'à la base Takato est hétéro hein ! Bah de toute évidence il est conditionné pour recevoir tous les assauts de l'autre sans réelles conséquences...
(Le signal du mode "Adulte")
Bref... C'est un yaoï qui plaira à ceux/celles qui n'aiment le genre que "parcequecesttropbeaudesmecsquisechopent" mais décevra les personnes comme moi qui aime le genre quand il est un minimum plausible, que les scènes de cul sont justifiées (autre que par une faim démesurée) et que le viol n'est pas banalisé !!! Ca, ça me fait péter les plombs ! Et c'est clairement le cas ici....(Et je vais en reparler dans la catégorie film...)
Ajoutons un bon point à cet animé, il est drôle.
C'est déjà pas mal hein ?
Films |
Japon - Romance - 2h07
Marmelade boy est un des premiers mangas que j'ai lu et à l'époque, je me souviens l'avoir adoré !
Je me rappelle même que j'allais à la bibliothèque, aux balbutiements d'internet, pour télécharger des images, qui mettaient des plombes à se charger sur l'écran, que je mettais ensuite sur disquette pour les imprimer à la maison... (Je vous parle d'un temps, que les moins de 20 ans, ne peuvent pas connaîîîîtreuh !)
J'ai dû favoriser la déforestation de la forêt amazonienne à moi toute seule à l'époque... (Qui a dit au fond "On s'en fou !!!"??)
Bref, quand j'ai vu qu'il y avait une adaptation en film, je me suis dis que j'allais me plonger dedans, histoire de retrouver mes premiers émois.
Hum... Bah j'ai pas été franchement convaincue.
Premièrement, comment à l'époque l'aspect malsain de la relation des parents ne m'est pas parue flagrante ?!
Leur histoire est quand même super chelou...
Cette fois, elle m'est parue bien plus évidente.
Et l'actrice qui joue Miki... Je ne pense pas l'avoir déjà vu quelques part mais elle ne m'a vraiment pas plu !!!
(La copine est choupinette mais l'autre... Si elle fait un bisou à sa copine, c'est sûr, elle a une marque à vie !)
Outre que je ne trouve pas que ses talents d'actrices soient exceptionnels, sa bouche... Punaise mais c'est sa vraie bouche ça ?! Regardez-moi ce mérou !
Durant chacune de ses apparitions, je ne pouvais décoller mon regard d'elles.
Et puis bon, le gloss, je veux bien mais quand ça te donne l'illusion d'avoir du chocolat non stop tout le contour de la bouche, c'est pas très glamour...
Rien que sur l'affiche du film, ils ont fait en sorte que le héro la masque un peu avec son doigt pour pas choquer XD...
Bon... Stop Titemolly, on a dit pas le physique !
Yoshizawa Ryo, il avait fait ses preuves dans les oeuvres dans lequel je l'avais vu (Giver notamment et River's Edge) mais je ne trouve pas que ce genre de personnages lui soient adaptés. Je demande à voir si je le recroise dans une autre romance.
Pour conclure, je n'ai pas vraiment aimé cette adaptation.
C'est long... Honnêtement, je me suis vraiment ennuyée.
Je ne sais pas si c'est parce que j'ai grandi mais j'aurai préféré gardé en mémoire mes premiers souvenirs....
Marmelade boy est un des premiers mangas que j'ai lu et à l'époque, je me souviens l'avoir adoré !
Je me rappelle même que j'allais à la bibliothèque, aux balbutiements d'internet, pour télécharger des images, qui mettaient des plombes à se charger sur l'écran, que je mettais ensuite sur disquette pour les imprimer à la maison... (Je vous parle d'un temps, que les moins de 20 ans, ne peuvent pas connaîîîîtreuh !)
J'ai dû favoriser la déforestation de la forêt amazonienne à moi toute seule à l'époque... (Qui a dit au fond "On s'en fou !!!"??)
Bref, quand j'ai vu qu'il y avait une adaptation en film, je me suis dis que j'allais me plonger dedans, histoire de retrouver mes premiers émois.
Hum... Bah j'ai pas été franchement convaincue.
Premièrement, comment à l'époque l'aspect malsain de la relation des parents ne m'est pas parue flagrante ?!
Leur histoire est quand même super chelou...
Cette fois, elle m'est parue bien plus évidente.
Et l'actrice qui joue Miki... Je ne pense pas l'avoir déjà vu quelques part mais elle ne m'a vraiment pas plu !!!
(La copine est choupinette mais l'autre... Si elle fait un bisou à sa copine, c'est sûr, elle a une marque à vie !)
Outre que je ne trouve pas que ses talents d'actrices soient exceptionnels, sa bouche... Punaise mais c'est sa vraie bouche ça ?! Regardez-moi ce mérou !
Durant chacune de ses apparitions, je ne pouvais décoller mon regard d'elles.
Et puis bon, le gloss, je veux bien mais quand ça te donne l'illusion d'avoir du chocolat non stop tout le contour de la bouche, c'est pas très glamour...
Rien que sur l'affiche du film, ils ont fait en sorte que le héro la masque un peu avec son doigt pour pas choquer XD...
Bon... Stop Titemolly, on a dit pas le physique !
Yoshizawa Ryo, il avait fait ses preuves dans les oeuvres dans lequel je l'avais vu (Giver notamment et River's Edge) mais je ne trouve pas que ce genre de personnages lui soient adaptés. Je demande à voir si je le recroise dans une autre romance.
Pour conclure, je n'ai pas vraiment aimé cette adaptation.
C'est long... Honnêtement, je me suis vraiment ennuyée.
Je ne sais pas si c'est parce que j'ai grandi mais j'aurai préféré gardé en mémoire mes premiers souvenirs....
Japon - Romance - 2h06
Un p'tit film avec notre bon vieux Jun !
Alors, c'est un fait, ce n'est pas un de ses meilleurs mais il est suffisamment différents de ses rôles habituels, que je trouvais intéressant d'en parler.
Tokyo Tower est un de ses films à regarder le dimanche après-midi, emmitouflée dans un plaid, une tasse de thé fumante à la main.
Il est lent. Très lent.
L'ambiance lounge vous poussera dans les bras de Morphée si vous tentez à le regarder en soirée.
L'histoire raconte l'histoire d'amour de deux hommes, amis depuis le lycée, qui ont un point commun, leur attrait pour les femmes plus âgées.(Notre heure de gloire est arrivée !!)
Chacun la sienne, des histoires bien distinctes, sinon pour seul point commun que les deux femmes sont mariées.
En somme, histoire d'amour interdit.
Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est notre petit Jun et son personnage absolument détestable.
Coureur de jupon, quelque peu colérique, mauvais garçon et avec un fâcheuse tendance à se trimballer à poil.
Fâcheuse ? Ah... Non en fait.
C'est plutôt plaisant en fait.
Les histoires d'amour sont dépeintes avec réalisme et c'est ce qui fera que nous ne regarderons pas Tokyo Tower pour rêver.
A aucun moment nous n'aurons véritablement envie de partager l'une ou l'autre.
Dans un sens, elles sont tristes toutes les deux.
Même si l'une d'entre elle aura tout de même pour fin quelque chose de bien romantique.
Il n'y a pas grand chose à dire ou à critiquer sinon que la lenteur durant laquelle se déroulent les évènements pourrait en décourager plus d'un.
Mais les acteurs sont grandioses et je pense qu'il est de mise de regarder ce film au moins une fois.
Mais de nouveau je me répète, évitez de le regarder le soir, après une journée harassante où le sommeil vous fait de l'oeil.
Préférez-lui un de vos aprés-midi coocooning.
Un p'tit film avec notre bon vieux Jun !
Alors, c'est un fait, ce n'est pas un de ses meilleurs mais il est suffisamment différents de ses rôles habituels, que je trouvais intéressant d'en parler.
Tokyo Tower est un de ses films à regarder le dimanche après-midi, emmitouflée dans un plaid, une tasse de thé fumante à la main.
Il est lent. Très lent.
L'ambiance lounge vous poussera dans les bras de Morphée si vous tentez à le regarder en soirée.
L'histoire raconte l'histoire d'amour de deux hommes, amis depuis le lycée, qui ont un point commun, leur attrait pour les femmes plus âgées.(Notre heure de gloire est arrivée !!)
Chacun la sienne, des histoires bien distinctes, sinon pour seul point commun que les deux femmes sont mariées.
En somme, histoire d'amour interdit.
Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est notre petit Jun et son personnage absolument détestable.
Coureur de jupon, quelque peu colérique, mauvais garçon et avec un fâcheuse tendance à se trimballer à poil.
Fâcheuse ? Ah... Non en fait.
C'est plutôt plaisant en fait.
Les histoires d'amour sont dépeintes avec réalisme et c'est ce qui fera que nous ne regarderons pas Tokyo Tower pour rêver.
A aucun moment nous n'aurons véritablement envie de partager l'une ou l'autre.
Dans un sens, elles sont tristes toutes les deux.
Même si l'une d'entre elle aura tout de même pour fin quelque chose de bien romantique.
Il n'y a pas grand chose à dire ou à critiquer sinon que la lenteur durant laquelle se déroulent les évènements pourrait en décourager plus d'un.
Mais les acteurs sont grandioses et je pense qu'il est de mise de regarder ce film au moins une fois.
Mais de nouveau je me répète, évitez de le regarder le soir, après une journée harassante où le sommeil vous fait de l'oeil.
Préférez-lui un de vos aprés-midi coocooning.
Japon - Drame - 1h23 +18 ans
Alors.... Non. Juste non.
Et je m'explique.
Je voulais traiter ce film parce que vous retrouverez d'autres "Boy Love" dans mes chroniques et je veux clarifier ma façon de penser sur un certain thème bien trop récurrent dans cette catégorie et j'ai nommé, le viol.
Commençons par planter le décor.
Un petit orchestre, un violoniste amoureux (et curieux sosie de Harry Potter) de la flutiste, un maître d'orchestre qualifié de génie, engagé pour relever la barre qui a tendance à se casser la gueule.
Ce maître d'orchestre a un secret.
Il est tombé amoureux de ce violoniste et fera tout ce qu'il peut pour se rapprocher de sa muse. Ok. Voilà le topo.
(Laisse-moi te montrer ma baguette, Harry !)
Le hic à l'histoire. Yuki, le violoniste est HETERO !
Vous allez me dire "Hum... Dans les yaoï, c'est un détail...".
Exact.
Mais là, il l'est bel et bien et compte bien le rester.
Pour Keï, le maître d'orchestre ? OSEF ! Je veux, je prends.
Nous avons donc droit à une "majestueuse" scène de viol qui durent de longues minutes, sur un fond de Wagner, censé donner un côté... Théâtral ? Morbide ? Magnifique ? à cette scène. Non. C'est juste abjecte.
(Leçon n°1 d'un violeur : Ouais... la musique doit être forte pour couvrir les cris...)
Abjecte comme toute scène de viol me direz-vous.
Peu importe que ça soit Chantal Goya ou encore Ramnstein qui chante derrière.
Lorsqu'une scène de viol est dépeinte dans une oeuvre, bien que difficile à regarder, elle ne me dérangera pas si elle a une justification POUR L'HISTOIRE.
Oui, je le mets en majuscule car jamais une scène de viol de devrait à être justifiée. Je suppose que vous aviez compris mes propos sans que je n'ai à m'expliquer ^^
Et c'est là que le bas blesse dans Fujimi Orchestra...
Certes, elle est là pour illustrer la possessivité et l'obsession de Keï.
Wagner a été choisi pour la violence de l'acte qui est censé représenter un amour dévastateur et narcissique.
Mais alors après ?
Après ? Ce pauvre petit Yuki, quelque peu bougon, rentre en marchant en canard, tirant maladroitement sur son pantalon alors qu'il arpente les rues.
Le lendemain matin !
Après avoir passé une bonne nuit de sommeil !
A côté de son violeur, qui aux premières lueurs du jour passe tranquilou un petit coup de fil en peignoir....
C'est risible et ça banalise un putain de crime !!!!
(Du sucre dans ton café ? Ou un ptit doliprane peut-être...)
Et c'est là où je fais des bons dans la plupart des yaoï !
Des consentements douteux... bon... c'est le côté fantasme que les auteurs cherchent à titiller.
C'est moyen mais on peut fermer les yeux.
Un viol qui engendre presque sur un petit café en terrasse avec un pardon soufflé dans un murmure avec un air de chien battu, je dis NON !
Accordons tout de même le fait que Yuki n'est pas des plus jouasses mais merde, il le vit quand même plutôt bien !!
Mais le plus scandaleux, c'est quand il ose se confier à celle qu'il aime et que cette garce ose "romantiser" le truc avec des "Mais c'est un génie de la musique ! Tu as tellement de chance !!"
J'exagère les propos et encore, à peine !
Mais va mourir connasse !
Je ne vous spoilerai pas en vous disant la fin, des fois que vous seriez tenté de regarder ce film mais honnêtement, il n'en vaut pas la peine.
De plus, le jeu d'acteur est catastrophique !
Maintenant vous connaissez ma façon de penser.
Si je viens à parler en bien d'une autre oeuvre dans laquelle il y aura ce genre de scène, c'est que le contexte sera différent. Et puis merde...
L'acteur qui joue Yuki c'est le sosie d'Harry Potter sur l'affiche en plus !
(Dommage que Draco soit blond, le gif aurait presque était trop ressemblant !)
Alors.... Non. Juste non.
Et je m'explique.
Je voulais traiter ce film parce que vous retrouverez d'autres "Boy Love" dans mes chroniques et je veux clarifier ma façon de penser sur un certain thème bien trop récurrent dans cette catégorie et j'ai nommé, le viol.
Commençons par planter le décor.
Un petit orchestre, un violoniste amoureux (et curieux sosie de Harry Potter) de la flutiste, un maître d'orchestre qualifié de génie, engagé pour relever la barre qui a tendance à se casser la gueule.
Ce maître d'orchestre a un secret.
Il est tombé amoureux de ce violoniste et fera tout ce qu'il peut pour se rapprocher de sa muse. Ok. Voilà le topo.
(Laisse-moi te montrer ma baguette, Harry !)
Le hic à l'histoire. Yuki, le violoniste est HETERO !
Vous allez me dire "Hum... Dans les yaoï, c'est un détail...".
Exact.
Mais là, il l'est bel et bien et compte bien le rester.
Pour Keï, le maître d'orchestre ? OSEF ! Je veux, je prends.
Nous avons donc droit à une "majestueuse" scène de viol qui durent de longues minutes, sur un fond de Wagner, censé donner un côté... Théâtral ? Morbide ? Magnifique ? à cette scène. Non. C'est juste abjecte.
(Leçon n°1 d'un violeur : Ouais... la musique doit être forte pour couvrir les cris...)
Abjecte comme toute scène de viol me direz-vous.
Peu importe que ça soit Chantal Goya ou encore Ramnstein qui chante derrière.
Lorsqu'une scène de viol est dépeinte dans une oeuvre, bien que difficile à regarder, elle ne me dérangera pas si elle a une justification POUR L'HISTOIRE.
Oui, je le mets en majuscule car jamais une scène de viol de devrait à être justifiée. Je suppose que vous aviez compris mes propos sans que je n'ai à m'expliquer ^^
Et c'est là que le bas blesse dans Fujimi Orchestra...
Certes, elle est là pour illustrer la possessivité et l'obsession de Keï.
Wagner a été choisi pour la violence de l'acte qui est censé représenter un amour dévastateur et narcissique.
Mais alors après ?
Après ? Ce pauvre petit Yuki, quelque peu bougon, rentre en marchant en canard, tirant maladroitement sur son pantalon alors qu'il arpente les rues.
Le lendemain matin !
Après avoir passé une bonne nuit de sommeil !
A côté de son violeur, qui aux premières lueurs du jour passe tranquilou un petit coup de fil en peignoir....
C'est risible et ça banalise un putain de crime !!!!
(Du sucre dans ton café ? Ou un ptit doliprane peut-être...)
Et c'est là où je fais des bons dans la plupart des yaoï !
Des consentements douteux... bon... c'est le côté fantasme que les auteurs cherchent à titiller.
C'est moyen mais on peut fermer les yeux.
Un viol qui engendre presque sur un petit café en terrasse avec un pardon soufflé dans un murmure avec un air de chien battu, je dis NON !
Accordons tout de même le fait que Yuki n'est pas des plus jouasses mais merde, il le vit quand même plutôt bien !!
Mais le plus scandaleux, c'est quand il ose se confier à celle qu'il aime et que cette garce ose "romantiser" le truc avec des "Mais c'est un génie de la musique ! Tu as tellement de chance !!"
J'exagère les propos et encore, à peine !
Mais va mourir connasse !
Je ne vous spoilerai pas en vous disant la fin, des fois que vous seriez tenté de regarder ce film mais honnêtement, il n'en vaut pas la peine.
De plus, le jeu d'acteur est catastrophique !
Maintenant vous connaissez ma façon de penser.
Si je viens à parler en bien d'une autre oeuvre dans laquelle il y aura ce genre de scène, c'est que le contexte sera différent. Et puis merde...
L'acteur qui joue Yuki c'est le sosie d'Harry Potter sur l'affiche en plus !
(Dommage que Draco soit blond, le gif aurait presque était trop ressemblant !)
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