07-02-2022, 09:41
Chroneek d'une geek #3
Dessine quelques glyphes sur la table poussiéreuse du bout de son doigtJe crois que c'était la chandeleur il y a peu non ? Ou un truc dans le genre où les humains trouvent encore un moyen de se goinfrer après être déjà aussi ronds que des ballons.
Et si j'essayais d'en faire moi des crêpes ?
Faut quoi déjà dans ce truc là ?
De la farine ? Hum...
Si je réduis en miette quelques os bien secs et que j'en fais une jolie poudre, ça pourrait aller non ? Ca serait original en plus !
Des oeufs ?
Oh... Où est-ce que je vais trouver ça moi ? Ah ! Kirinenko !! C'est un poulet non ? Il doit bien pondre ces trucs là non ? Hum... mais c'est pas un poussin en fait ? Ou un canard ? Merde... Je sais pas... je vais tout de même lui demander si y'aurait pas quelque chose qui traîne au fin fond de son... de son... Mouais.... De son "placard" dirons-nous.
Et ensuite ? Du lait !
Tapote son menton de son index
Ca fait du lait un maître des enfers ? C'est censé savoir tout faire non ? Il/Elle doit avoir ça en stock ?
Imagine la scène
Bon.... Je crois que je vais lâcher l'idée de faire la bouffe de toute ma vie et me contenter de faire ma chronique ! Je tiens à ma vie moi en fait !
Dramas |
Japon - Horreur/Epouvante - 11 X 24 mins
Alors vraiment, j'avais téléchargé ce drama sans réelles convictions mais j'ai vraiment eu un gros coup de coeur.
L'histoire raconte que la grosse chaîne de télé TV Tokyo vient de déménager.
Cependant, ils laissent derrière eux, un stock incommensurable de cassettes vidéo, non étiquetées pour la plupart, qu'il faut alors trier.
Riku est alors embauché afin d'assister les deux réalisateurs Saori et Satoru dans cette tâche.
Cependant, chaque cassette révèle une histoire paranormale non élucidée pour lesquelles quelques bribes d'images ont été enregistrés par les anciens journalistes.
(Va y avoir du boulot...)
Y'a de tout pour nous satisfaire dans ce drama : Des esprits vengeurs, des poupées ensorcelées, de vieilles amies possédées par un démon depuis des années suite à une soirée ouija, des suicidés qui disparaissent dans la forêt d'Aokigahara.
Bref, tout un florilège d'histoires pas très rassurantes et honnêtement, le tout est super bien mené.
Filmé avec un petit côté vieillot et je pense que c'est voulu (Car le drama ne date que de 2017), les réalisateurs sont revenus aux classiques du genre pour te faire bondir dans ton fauteuil.
Je ne parle pas vraiment des jump scare mais de cette astuce à mettre subitement la musique forte quand un nouvel objet ou personnage apparait à l'écran. Je ne sais pas comment ça s'appelle... Toujours est-il que c'est quelque chose de tellement connu, que ça ne marchait plus sur moi.
D'ailleurs, les réalisateurs ne l'utilisent presque plus.
Et bien justement, cette fois ils en usent et abusent et ça a fait l'taff !
Y'a certains moments où je faisais pas la fière !
(C'est bien. Aies confiance...)
Bien entendu, derrière ces histoires à vous hérisser les poils, il y a une trame de fond.
Subtile, on ne comprend pas tout de suite qu'il y a une histoire derrière les histoires mais si l'on est attentif, TRES rapidement on comprend qu'il y a quelque chose qui cloche.
Cependant, lorsqu'il s'agit de lever le voile, en 4 épisodes, on se prend une flopée d'infos dans la tronche et hop c'est plié !
Et je trouve ça bien dommage.
Le drama aurait mérité plus d'épisodes afin de pouvoir développer l'intrigue de façon bien moins abrupte.
Pas des épisodes plus longs car pour moi le format 23 minutes est parfait mais bien une dizaine d'épisodes de plus.
Concernant l'épisode final, je trouve qu'il est parfaitement trouvé.
Alors qu'on imagine un nouveau mystère sur une nouvelle vidéo, il s'agit finalement d'un épisode "morale" qui clôture parfaitement la série.
A savoir, si c'est filmé, est-ce réellement la vérité ?
Ne pouvons-nous tout simplement pas croire par nous-même plutôt que par des preuves que l'on nous offre au regard sans même que nous n'ayons réellement assisté aux faits ?
(La petite morgue qui met dans l'ambiance...)
Je trouve que cette morale s'applique à toutes les circonstances.
Pas seulement aux évènements paranormaux.
Prenez par exemple le lynchage que peuvent faire tels ou telles personnes sur les réseaux sociaux envers une star quelconque parce que l'on aura dit "Il a fait ça !"
Ah ? Tu étais là ? Tu l'as vu ?
- "Non mais j'ai vu une vidéo !"
- Hum... et qui te prouve que c'est vrai sinon celui qui a produit lui-même la vidéo ?.
Bref. Si mon avis vous a donné envie de regarder ce drama, je vous laisserez vous faire votre propre avis.
Pour ma part, j'ai vraiment passé un super moment.
Alors vraiment, j'avais téléchargé ce drama sans réelles convictions mais j'ai vraiment eu un gros coup de coeur.
L'histoire raconte que la grosse chaîne de télé TV Tokyo vient de déménager.
Cependant, ils laissent derrière eux, un stock incommensurable de cassettes vidéo, non étiquetées pour la plupart, qu'il faut alors trier.
Riku est alors embauché afin d'assister les deux réalisateurs Saori et Satoru dans cette tâche.
Cependant, chaque cassette révèle une histoire paranormale non élucidée pour lesquelles quelques bribes d'images ont été enregistrés par les anciens journalistes.
(Va y avoir du boulot...)
Y'a de tout pour nous satisfaire dans ce drama : Des esprits vengeurs, des poupées ensorcelées, de vieilles amies possédées par un démon depuis des années suite à une soirée ouija, des suicidés qui disparaissent dans la forêt d'Aokigahara.
Bref, tout un florilège d'histoires pas très rassurantes et honnêtement, le tout est super bien mené.
Filmé avec un petit côté vieillot et je pense que c'est voulu (Car le drama ne date que de 2017), les réalisateurs sont revenus aux classiques du genre pour te faire bondir dans ton fauteuil.
Je ne parle pas vraiment des jump scare mais de cette astuce à mettre subitement la musique forte quand un nouvel objet ou personnage apparait à l'écran. Je ne sais pas comment ça s'appelle... Toujours est-il que c'est quelque chose de tellement connu, que ça ne marchait plus sur moi.
D'ailleurs, les réalisateurs ne l'utilisent presque plus.
Et bien justement, cette fois ils en usent et abusent et ça a fait l'taff !
Y'a certains moments où je faisais pas la fière !
(C'est bien. Aies confiance...)
Bien entendu, derrière ces histoires à vous hérisser les poils, il y a une trame de fond.
Subtile, on ne comprend pas tout de suite qu'il y a une histoire derrière les histoires mais si l'on est attentif, TRES rapidement on comprend qu'il y a quelque chose qui cloche.
Cependant, lorsqu'il s'agit de lever le voile, en 4 épisodes, on se prend une flopée d'infos dans la tronche et hop c'est plié !
Et je trouve ça bien dommage.
Le drama aurait mérité plus d'épisodes afin de pouvoir développer l'intrigue de façon bien moins abrupte.
Pas des épisodes plus longs car pour moi le format 23 minutes est parfait mais bien une dizaine d'épisodes de plus.
Concernant l'épisode final, je trouve qu'il est parfaitement trouvé.
Alors qu'on imagine un nouveau mystère sur une nouvelle vidéo, il s'agit finalement d'un épisode "morale" qui clôture parfaitement la série.
A savoir, si c'est filmé, est-ce réellement la vérité ?
Ne pouvons-nous tout simplement pas croire par nous-même plutôt que par des preuves que l'on nous offre au regard sans même que nous n'ayons réellement assisté aux faits ?
(La petite morgue qui met dans l'ambiance...)
Je trouve que cette morale s'applique à toutes les circonstances.
Pas seulement aux évènements paranormaux.
Prenez par exemple le lynchage que peuvent faire tels ou telles personnes sur les réseaux sociaux envers une star quelconque parce que l'on aura dit "Il a fait ça !"
Ah ? Tu étais là ? Tu l'as vu ?
- "Non mais j'ai vu une vidéo !"
- Hum... et qui te prouve que c'est vrai sinon celui qui a produit lui-même la vidéo ?.
Bref. Si mon avis vous a donné envie de regarder ce drama, je vous laisserez vous faire votre propre avis.
Pour ma part, j'ai vraiment passé un super moment.
Corée du sud - Fantastique/Romance - 6 x 30 mins
Avant de commencer cette critique, je tiens à souligner qu'il s'agit de mon ressenti sans tenir compte des avis que j'ai pu lire. Paraît-il que Queen of the ring est dénonciateur et moralisateur d'une certaine chose (que je détaillerai après) et pour le coup, il passe pour le gentil de la bande...
Et bien moi, je ne lui confèrerai pas ce mérite. Je ne l'ai PAS du tout vécu comme ça. Alors à mon tour de parler.
Laissez-moi vous raconter une légende...
Il était une fois, une jeune fille considérée comme étant moche et à gerber, parce qu'elle ne rentrait pas les standards de beauté de son pays d'anorexiques botoxés, qui tomba amoureuse d'un beau jeune homme aussi imbu de lui-même que superficiel.
Mais cette jeune fille avait un secret.
Dans sa famille, toutes les femmes étaient d'une laideur à faire peur (Oui, toujours d'après les fameux standards...) et pourtant, toutes avaient été mariées à de splendides jeunes hommes.
Etrange n'est-ce pas ?
Pas tant que ça si l'on considère que toutes ces femmes portaient à leur doigt un étrange anneau.
Quel est donc le mystère autour de cet anneau qui semble d'un or douteux ?
Tout simplement que s'il se voit être enfilé au doigt de la demoiselle par l'élu de son coeur, celle-ci apparait à ses yeux sous les traits de la femme de ses rêves. Elles peuvent alors vivre une parfaite idylle toute leur vie, dans le mensonge et sans avoir recours à la chirurgie plastique.
Joli conte n'est-ce pas ?....
Mouais.... Honnêtement, Queen of ring partait d'un bon scénario, mais étrangement, il m'a prodigieusement agacé.
Déjà que la majorité des K-Drama prônent une beauté superficielle pour ne serait-ce qu'être accepté dans la vie, ici, on s'en prend plein la tronche. Premièrement, faut arrêter de se foutre de la gueule du monde, l'héroïne n'est certes pas un canon de beauté comme on cherche à nous le faire croire, mais elle demeure mignonette.
Là, elle est représentée au regard des autres comme étant limite un monstre !
Faudrait voir à arrêter de nous prendre pour des chauffe-eaux hein...
(L'est mignon tout plein avec elle !! Non non... Juste sous l'emprise de l'anneau... STUPIDE HOBBIT JOUFFLU !)
Si déjà tu as quelques complexes, ne regarde pas ce drama, tu vas littéralement te foutre par la fenêtre.
Et cette réaction des gens... "Mais comment un cageot pareil peut-il être avec un homme aussi beau ?" Et vas-y que je rigole derrière leur dos et patati et papata...
Mais allez juste bien vous faire foutre !!
Je crois qu'aucun K-Drama n'aura autant fait l'apologie de la superficialité et des castes.
Tu es moche ? Tu dois être avec un moche ! Tu es canon ? Toute la terre se prosterne devant toi ! Alors certes, le personnage principal est vraiment à bouffer, mais il rappelle tellement souvent sa supériorité en tant que gravure de mode, qu'il en devient dégueulasse. Et pourtant, on sait mon affection pour les personnages arrogants et détestables. Mais là, il en est risible....
(Ouais tu peux paraître gêné !!)
Je me fous de spoiler parce qu'étrangement on le voit venir à des kilomètres, mais ça finit bien ! (Oh joie ! Il est finalement tombé amoureux de celle qui lui donnait la nausée avant ! Les miracles du Smecta...). Et de toute façon, pour montrer à quel point ils en ont rien à foutre, l'affiche spoile tout...
La fille est suffisamment conne pour accepter de faire sa vie avec un mec qui durant les 20 premières années de sa vie ne jurait que par la beauté et les paillettes, grand bien lui fasse....
Bref ! Je ne conseille pas ce drama pour le mauvais message qu'il véhicule.
Mais après, suis-je tout simplement aigrie ?... On va dire ça.
Et pourtant, partout le lit "Mais siiiiiii ! Il dénonce justement cette société contrefaite où seule l'apparence compte" et bla bla bla. C'est bon, mais à aucun moment je n'ai senti une once de morale !! Et pourtant, je m'y connais hein, je bouffe des dramas jap à la pelle alors je sais la sentir à des kilomètres ladite morale hein...
Bref, pour la peine, je vous spoile toutes les scènes de baisers, comme ça vous n'avez aucune raison d'aller le voir !
Avant de commencer cette critique, je tiens à souligner qu'il s'agit de mon ressenti sans tenir compte des avis que j'ai pu lire. Paraît-il que Queen of the ring est dénonciateur et moralisateur d'une certaine chose (que je détaillerai après) et pour le coup, il passe pour le gentil de la bande...
Et bien moi, je ne lui confèrerai pas ce mérite. Je ne l'ai PAS du tout vécu comme ça. Alors à mon tour de parler.
Laissez-moi vous raconter une légende...
Il était une fois, une jeune fille considérée comme étant moche et à gerber, parce qu'elle ne rentrait pas les standards de beauté de son pays d'anorexiques botoxés, qui tomba amoureuse d'un beau jeune homme aussi imbu de lui-même que superficiel.
Mais cette jeune fille avait un secret.
Dans sa famille, toutes les femmes étaient d'une laideur à faire peur (Oui, toujours d'après les fameux standards...) et pourtant, toutes avaient été mariées à de splendides jeunes hommes.
Etrange n'est-ce pas ?
Pas tant que ça si l'on considère que toutes ces femmes portaient à leur doigt un étrange anneau.
Quel est donc le mystère autour de cet anneau qui semble d'un or douteux ?
Tout simplement que s'il se voit être enfilé au doigt de la demoiselle par l'élu de son coeur, celle-ci apparait à ses yeux sous les traits de la femme de ses rêves. Elles peuvent alors vivre une parfaite idylle toute leur vie, dans le mensonge et sans avoir recours à la chirurgie plastique.
Joli conte n'est-ce pas ?....
Mouais.... Honnêtement, Queen of ring partait d'un bon scénario, mais étrangement, il m'a prodigieusement agacé.
Déjà que la majorité des K-Drama prônent une beauté superficielle pour ne serait-ce qu'être accepté dans la vie, ici, on s'en prend plein la tronche. Premièrement, faut arrêter de se foutre de la gueule du monde, l'héroïne n'est certes pas un canon de beauté comme on cherche à nous le faire croire, mais elle demeure mignonette.
Là, elle est représentée au regard des autres comme étant limite un monstre !
Faudrait voir à arrêter de nous prendre pour des chauffe-eaux hein...
(L'est mignon tout plein avec elle !! Non non... Juste sous l'emprise de l'anneau... STUPIDE HOBBIT JOUFFLU !)
Si déjà tu as quelques complexes, ne regarde pas ce drama, tu vas littéralement te foutre par la fenêtre.
Et cette réaction des gens... "Mais comment un cageot pareil peut-il être avec un homme aussi beau ?" Et vas-y que je rigole derrière leur dos et patati et papata...
Mais allez juste bien vous faire foutre !!
Je crois qu'aucun K-Drama n'aura autant fait l'apologie de la superficialité et des castes.
Tu es moche ? Tu dois être avec un moche ! Tu es canon ? Toute la terre se prosterne devant toi ! Alors certes, le personnage principal est vraiment à bouffer, mais il rappelle tellement souvent sa supériorité en tant que gravure de mode, qu'il en devient dégueulasse. Et pourtant, on sait mon affection pour les personnages arrogants et détestables. Mais là, il en est risible....
(Ouais tu peux paraître gêné !!)
Je me fous de spoiler parce qu'étrangement on le voit venir à des kilomètres, mais ça finit bien ! (Oh joie ! Il est finalement tombé amoureux de celle qui lui donnait la nausée avant ! Les miracles du Smecta...). Et de toute façon, pour montrer à quel point ils en ont rien à foutre, l'affiche spoile tout...
La fille est suffisamment conne pour accepter de faire sa vie avec un mec qui durant les 20 premières années de sa vie ne jurait que par la beauté et les paillettes, grand bien lui fasse....
Bref ! Je ne conseille pas ce drama pour le mauvais message qu'il véhicule.
Mais après, suis-je tout simplement aigrie ?... On va dire ça.
Et pourtant, partout le lit "Mais siiiiiii ! Il dénonce justement cette société contrefaite où seule l'apparence compte" et bla bla bla. C'est bon, mais à aucun moment je n'ai senti une once de morale !! Et pourtant, je m'y connais hein, je bouffe des dramas jap à la pelle alors je sais la sentir à des kilomètres ladite morale hein...
Bref, pour la peine, je vous spoile toutes les scènes de baisers, comme ça vous n'avez aucune raison d'aller le voir !
Philippines - Comédie/Romance Gay - 13 X 22 mins
Des dramas qui ont été tournés pendant le confinement et qui ont été tournés de cette drôle de façon qui est celle des webcams interposées, il y en a eu à la pelle !!
Gameboys est le premier que j'ai vu et le SEUL que j'ai aimé. Pour les autres, le premier épisode a suffit à me faire lâcher prise !
De toute façon, on en voit un, on les a tous vu.
Ensuite, les dramas Philippins, j'ai beaucoup de mal ! Premièrement, la langue. Ce mélange des langues ça me perturbe... Faites un choix les gars !
Toutefois, parlons de celui-ci qui aura su me faire changer quelque peu d'avis.
L'histoire raconte les péripéties de Cairo, un streamer, qui se voit prit au dépourvu lorsqu'il reçoit un appel vidéo d'un de ses rivaux, Gavreel. Autant dire qu'il reste encore plus sur le cul, lorsque celui-ci l'invite à sortir.
On débute alors l'histoire lors des prémices de la pandémie, dans un pays où cette saloperie de virus, ça rigole pas (Le système de santé là-bas, c'est loin d'être le nôtre hein...Vous savez hein ? Celui dont on se plaint tout le temps...).
Sous couvert d'une comédie, ce petit drama est plutôt dénonciateur d'une difficulté à être homosexuel dans cette société. Et surtout, à l'assumer au regard des autres.
J'ai aimé cette façon qu'ils ont eu de montrer comment il peut être difficile de cacher son homosexualité, le stress que cela procure lorsque l'on est "découvert" et d'autant plus par une personne que l'on pense cher à notre coeur et qui s'avère réagir d'une manière que l'on ne pensait pas être la sienne.
Je ne suis pas concernée par la chose, il est donc facile pour moi de clamer haut et fort "Assumez-vous !! On s'en balek des réactions des gens ! Soyez simplement vous-mêmes".
C'est quelque chose dont j'ai horreur quand les gens se brident alors que moi-même, je fais parti de ceux qui n'oserait pas si j'étais dans leur cas. (C'est comme ça la plupart du temps... On déteste ce que nous-mêmes nous sommes en partie. Ca nous rappelle à nos propres défauts...)
(Cairo a vraiment une bouille d'amour...)
Cette relation que l'on découvre avec son meilleur ami, qui est, vous l'aurez compris, cette fameuse personne étroite d'esprit est très bien mené et vraiment agréable à découvrir. Il ne se contente pas d'oublier le mal qu'on lui a fait. Il pardonne mais il demeurera blessé à vie par ce rejet. Un peu comme le test de la feuille de papier qu'on froisse hein... Tentez de la lisser du mieux que vous pouvez après, elle ne redeviendra jamais la même.
La relation se déroulant entre les deux personnages principaux peut paraître rapide mais je trouve également qu'elle coule de source.
Ils sont poignants dans leurs émotions et incroyablement attendrissants.
On se prend rapidement au jeu, on s'immisce sans problème dans leur histoire.
En bref, en très peu de temps, on semble nous-mêmes faire parti du décor. Une belle histoire d'amour et d'acceptation dans les moments difficiles.
L'acteur qui interprète Cairo peut paraître déstabilisant dans son jeu, mais étrangement, on sent qu'au fil des épisodes, il lui donne sa propre interprétation, comme s'il ne suivait plus le script.
Il s'approprie parfaitement son rôle et c'est vraiment plaisant.
Il y a des instants tristes mais également, ils sont amenés progressivement et comme je vous disais plus haut, nous sommes tellement pris dans cette histoire, que nous-mêmes, nous souhaitons que cela n'arrive pas. On a presque mal autant que le personnage. En tout cas, ça a été mon cas.
Le personnage de Gavreel est également très intéressant.
Par instant arrogant, il est néanmoins conscient des moments où il doit accorder de l'espace à ceux qui l'entourent (J'entends principalement Cairo).
Il est là pour l'accompagner dans les bons comme dans les mauvais moments et je le rappelle, tout cela sans qu'ils ne se soient encore vu en vrai !
C'est ça qui fait toute l'originalité de ce drama et c'est ma foi très plaisant.
Le personnage féminin de l'histoire, Pearl, qui est l'amie de Cairo est toute aussi attachante.
Montée sur ressort, très expansive, elle est en fait un peu comme le garde fou du couple.
Elle les soutient, elle les accompagne, elle pousse des gueulantes quand eux-mêmes en sont incapables, elle les protège. Elle est vraiment très importante dans l'histoire et pour une fois qu'un personnage féminin ne me donne pas des envie de meurtre, je trouve qu'il est important que je le souligne XD
Je ne spoilerai pas la première rencontre IRL.
Si le coeur vous dit de regarder ce petit drama, je vous laisse juger par vous-mêmes.
(Ils sont vraiment mignon tout plein >.<)
Il y a vraiment un petit quelque chose qui doit vous pousser à regarder cette petite série au moins une fois.
Laissez de côté toutes les autres du même genre, elles ne lui arrivent pas à la cheville.
C'est vraiment un chouette petit projet et je pense, sans être de nouveau concernée par la chose, une oeuvre qui saura toucher le public LGBT par sa sincérité et son réalisme.
Des dramas qui ont été tournés pendant le confinement et qui ont été tournés de cette drôle de façon qui est celle des webcams interposées, il y en a eu à la pelle !!
Gameboys est le premier que j'ai vu et le SEUL que j'ai aimé. Pour les autres, le premier épisode a suffit à me faire lâcher prise !
De toute façon, on en voit un, on les a tous vu.
Ensuite, les dramas Philippins, j'ai beaucoup de mal ! Premièrement, la langue. Ce mélange des langues ça me perturbe... Faites un choix les gars !
Toutefois, parlons de celui-ci qui aura su me faire changer quelque peu d'avis.
L'histoire raconte les péripéties de Cairo, un streamer, qui se voit prit au dépourvu lorsqu'il reçoit un appel vidéo d'un de ses rivaux, Gavreel. Autant dire qu'il reste encore plus sur le cul, lorsque celui-ci l'invite à sortir.
On débute alors l'histoire lors des prémices de la pandémie, dans un pays où cette saloperie de virus, ça rigole pas (Le système de santé là-bas, c'est loin d'être le nôtre hein...Vous savez hein ? Celui dont on se plaint tout le temps...).
Sous couvert d'une comédie, ce petit drama est plutôt dénonciateur d'une difficulté à être homosexuel dans cette société. Et surtout, à l'assumer au regard des autres.
J'ai aimé cette façon qu'ils ont eu de montrer comment il peut être difficile de cacher son homosexualité, le stress que cela procure lorsque l'on est "découvert" et d'autant plus par une personne que l'on pense cher à notre coeur et qui s'avère réagir d'une manière que l'on ne pensait pas être la sienne.
Je ne suis pas concernée par la chose, il est donc facile pour moi de clamer haut et fort "Assumez-vous !! On s'en balek des réactions des gens ! Soyez simplement vous-mêmes".
C'est quelque chose dont j'ai horreur quand les gens se brident alors que moi-même, je fais parti de ceux qui n'oserait pas si j'étais dans leur cas. (C'est comme ça la plupart du temps... On déteste ce que nous-mêmes nous sommes en partie. Ca nous rappelle à nos propres défauts...)
(Cairo a vraiment une bouille d'amour...)
Cette relation que l'on découvre avec son meilleur ami, qui est, vous l'aurez compris, cette fameuse personne étroite d'esprit est très bien mené et vraiment agréable à découvrir. Il ne se contente pas d'oublier le mal qu'on lui a fait. Il pardonne mais il demeurera blessé à vie par ce rejet. Un peu comme le test de la feuille de papier qu'on froisse hein... Tentez de la lisser du mieux que vous pouvez après, elle ne redeviendra jamais la même.
La relation se déroulant entre les deux personnages principaux peut paraître rapide mais je trouve également qu'elle coule de source.
Ils sont poignants dans leurs émotions et incroyablement attendrissants.
On se prend rapidement au jeu, on s'immisce sans problème dans leur histoire.
En bref, en très peu de temps, on semble nous-mêmes faire parti du décor. Une belle histoire d'amour et d'acceptation dans les moments difficiles.
L'acteur qui interprète Cairo peut paraître déstabilisant dans son jeu, mais étrangement, on sent qu'au fil des épisodes, il lui donne sa propre interprétation, comme s'il ne suivait plus le script.
Il s'approprie parfaitement son rôle et c'est vraiment plaisant.
Il y a des instants tristes mais également, ils sont amenés progressivement et comme je vous disais plus haut, nous sommes tellement pris dans cette histoire, que nous-mêmes, nous souhaitons que cela n'arrive pas. On a presque mal autant que le personnage. En tout cas, ça a été mon cas.
Le personnage de Gavreel est également très intéressant.
Par instant arrogant, il est néanmoins conscient des moments où il doit accorder de l'espace à ceux qui l'entourent (J'entends principalement Cairo).
Il est là pour l'accompagner dans les bons comme dans les mauvais moments et je le rappelle, tout cela sans qu'ils ne se soient encore vu en vrai !
C'est ça qui fait toute l'originalité de ce drama et c'est ma foi très plaisant.
Le personnage féminin de l'histoire, Pearl, qui est l'amie de Cairo est toute aussi attachante.
Montée sur ressort, très expansive, elle est en fait un peu comme le garde fou du couple.
Elle les soutient, elle les accompagne, elle pousse des gueulantes quand eux-mêmes en sont incapables, elle les protège. Elle est vraiment très importante dans l'histoire et pour une fois qu'un personnage féminin ne me donne pas des envie de meurtre, je trouve qu'il est important que je le souligne XD
Je ne spoilerai pas la première rencontre IRL.
Si le coeur vous dit de regarder ce petit drama, je vous laisse juger par vous-mêmes.
(Ils sont vraiment mignon tout plein >.<)
Il y a vraiment un petit quelque chose qui doit vous pousser à regarder cette petite série au moins une fois.
Laissez de côté toutes les autres du même genre, elles ne lui arrivent pas à la cheville.
C'est vraiment un chouette petit projet et je pense, sans être de nouveau concernée par la chose, une oeuvre qui saura toucher le public LGBT par sa sincérité et son réalisme.
Animés |
Japon - Comédie/Fantastique - 12 X 24 mins
Oh ! Faut absolument que je vous parle de ce truc !
Difficile de savoir si j'ai aimé ou si c'est une vaste blague, mais j'ai pas pu décrocher une seule seconde.
Fairy ranmaru, c'est un peu comme Sailor Moon mais avec des gars...
Et à défaut d'être des représentants de la lune (Je parle de celle dans le ciel...parce que quand on regarde l'animé, on pourrait croire à un double sens de ma part -_-) et de tout ce qui flotte dans l'espace, cette fois, ce sont des fées...
Oui oui, des fées...
Et dans Fairy Ranmaru, une fée, ça ressemble à ça ! Et leurs costumes défient les lois de la mode... Ci-joint, un petit gros plan...
(Vous aussi vous avez YMCA dans la tête ou c'est juste moi ?!)
5 fées sont donc envoyées sur terre, sous une apparence humaine, pour récolter de... l'affection.
Pour cela, ils doivent battre des vilains pas beaux, matérialisés sous la forme de péché, comme la colère, la luxure, toussa toussa... C'est...comment dire... chelou comme animé !
L'histoire n'est pas vraiment claire et on ne va pas se le cacher, ils ont tout miser sur la plastique de rêve des petites fées et l'ambigüité de la relation pour certain. J'vous montre :
(Et à aucun moment ce n'est un shonen-aï hein...hem...)
C'est indéniable, cet animé est destiné à un public féminin.
Pour ma part, j'ai une petite préférence pour la fée des flots.
Sous sa forme humaine, il est calme, serein, plein de vertu et sous sa forme de fée...euh..... jugez par vous-même ce tout petit extrait. Vous pouvez tout à loisir trouver la transformation entière sur Youtube. (Pour info, c'est celui de la deuxième image du dessus qui bizouille l'autre. Bah ouais, pas facile de le reconnaître quand on voit que son cul hein...)
De plus, sa transformation à la Sailor moon nous offre tout à loisir d'imaginer un petit côté sado-masochiste chez le beau gosse.
Oh ! Et j'ai pas dis ! Pour entrer dans cet espèce de monde chelou, pour combattre les "péchés", ils doivent embrasser la demoiselle torturée (Ouais... C'est que des meufs qui sont attaquées dans cet animé...).
C'est pas ça le plus chelou... C'est le gémissement extatique qu'ils poussent juste avant leur transformation... Je dois sans doute mal faire depuis le début en fait... Je me rappelle pas pousser de tels gémissements quand j'embrasse quelqu'un...
Bref, c'est complètement barré, honnêtement, c'est pas loin d'être une daube, mais je dois avouer que les dessins sont splendides et étrangement, on se laisse prendre au jeu.
Mais je sais pas... On se sent bizarre après....
J'hésite encore à aller porter plainte. Je pense avoir perdu en innocence...
(Vous leurrez pas, je semble presque élogieuse, mais c'est vraiment une daube hein ! Cependant, à regarder entre copine, sans rien prendre au sérieux, ça peut être sympa).
Oh ! Faut absolument que je vous parle de ce truc !
Difficile de savoir si j'ai aimé ou si c'est une vaste blague, mais j'ai pas pu décrocher une seule seconde.
Fairy ranmaru, c'est un peu comme Sailor Moon mais avec des gars...
Et à défaut d'être des représentants de la lune (Je parle de celle dans le ciel...parce que quand on regarde l'animé, on pourrait croire à un double sens de ma part -_-) et de tout ce qui flotte dans l'espace, cette fois, ce sont des fées...
Oui oui, des fées...
Et dans Fairy Ranmaru, une fée, ça ressemble à ça ! Et leurs costumes défient les lois de la mode... Ci-joint, un petit gros plan...
(Vous aussi vous avez YMCA dans la tête ou c'est juste moi ?!)
5 fées sont donc envoyées sur terre, sous une apparence humaine, pour récolter de... l'affection.
Pour cela, ils doivent battre des vilains pas beaux, matérialisés sous la forme de péché, comme la colère, la luxure, toussa toussa... C'est...comment dire... chelou comme animé !
L'histoire n'est pas vraiment claire et on ne va pas se le cacher, ils ont tout miser sur la plastique de rêve des petites fées et l'ambigüité de la relation pour certain. J'vous montre :
(Et à aucun moment ce n'est un shonen-aï hein...hem...)
C'est indéniable, cet animé est destiné à un public féminin.
Pour ma part, j'ai une petite préférence pour la fée des flots.
Sous sa forme humaine, il est calme, serein, plein de vertu et sous sa forme de fée...euh..... jugez par vous-même ce tout petit extrait. Vous pouvez tout à loisir trouver la transformation entière sur Youtube. (Pour info, c'est celui de la deuxième image du dessus qui bizouille l'autre. Bah ouais, pas facile de le reconnaître quand on voit que son cul hein...)
De plus, sa transformation à la Sailor moon nous offre tout à loisir d'imaginer un petit côté sado-masochiste chez le beau gosse.
Oh ! Et j'ai pas dis ! Pour entrer dans cet espèce de monde chelou, pour combattre les "péchés", ils doivent embrasser la demoiselle torturée (Ouais... C'est que des meufs qui sont attaquées dans cet animé...).
C'est pas ça le plus chelou... C'est le gémissement extatique qu'ils poussent juste avant leur transformation... Je dois sans doute mal faire depuis le début en fait... Je me rappelle pas pousser de tels gémissements quand j'embrasse quelqu'un...
Bref, c'est complètement barré, honnêtement, c'est pas loin d'être une daube, mais je dois avouer que les dessins sont splendides et étrangement, on se laisse prendre au jeu.
Mais je sais pas... On se sent bizarre après....
J'hésite encore à aller porter plainte. Je pense avoir perdu en innocence...
(Vous leurrez pas, je semble presque élogieuse, mais c'est vraiment une daube hein ! Cependant, à regarder entre copine, sans rien prendre au sérieux, ça peut être sympa).
Japon - Comédie/Surnaturel - 12 X 24 mins
J'ai avalé cet animé d'une traite !
Et pourtant, il y a du bon et du mauvais.
Cependant, quelque chose me poussait à sans arrêt cliquer sur "suivant".
L'histoire suit les aventures de Ramune, médecin un peu spécial, chargé de soigner les maladies mystérieuses.
Et quand on parle de maladies mystérieuses, on pourrait presque rajouter "Mystérieuses et chelous"...
En effet, ses patients sont affectés d'un drôle de mal qui, en fonction de la raison, transforme quelques parties de leur corps en... bouffe.
On suit alors une pauvre jeune fille qui pleure de la mayonnaise ou encore même de la sauce soja, un homme qui voit son pénis transformé en bâton de poisson ou encore une femme dont les oreilles se transforment en gyoza.
(Oui oui... Elle pleure bien de la sauce soja...Et l'autre a des ongles en piment...)
C'est absurde mais étrangement marrant.
Bien entendu, derrière tout cela, il y a toujours une histoire. Plus ou moins triste d'ailleurs.
Vous l'aurez compris, Kai byoui Ramune est une comédie fantastique qui vous fera rire ne serait-ce que par la personnalité de Ramune, ce médecin complètement what the fuck.
Cependant, j'ai été déçu par le design à la fois superbe par instant pour par la suite se voir complètement bâclé dés que les personnages se trouvent en arrière plan.
(C'est bien la même image... dupliquée 3 fois et même pas correctement en plus...)
On a l'habitude de ça avec les personnages qui ne sont pas importants et ne sont là que pour meubler une scène mais là, les charadesigner ont carrément lâché l'affaire quand il s'agit d'illustrer une scène sur laquelle il n'y a pas de gros plans...
Cet animé est tout de même de 2021, je trouve dommage de bâcler ce côté là.
Egalement, il n'y a pas réellement de fin.
Même si l'animé se clôture proprement.
Le manga est toujours en cours et ne compte que 5 volumes à l'heure actuelle alors ça peut se comprendre.
Je ne pense pas que la série appelle à une suite, à moins que le manga ne dévoile un peu plus sur le background de ce drôle de docteur, parce que finalement, nous n'en savons pas beaucoup sur lui.
C'est d'ailleurs dommage.
En somme, je conseille tout de même cet animé pour son côté divertissant et son personnage principal vraiment chouette mais ce n'est pas la meilleure adaptation que nous aura offert cette année.
J'ai avalé cet animé d'une traite !
Et pourtant, il y a du bon et du mauvais.
Cependant, quelque chose me poussait à sans arrêt cliquer sur "suivant".
L'histoire suit les aventures de Ramune, médecin un peu spécial, chargé de soigner les maladies mystérieuses.
Et quand on parle de maladies mystérieuses, on pourrait presque rajouter "Mystérieuses et chelous"...
En effet, ses patients sont affectés d'un drôle de mal qui, en fonction de la raison, transforme quelques parties de leur corps en... bouffe.
On suit alors une pauvre jeune fille qui pleure de la mayonnaise ou encore même de la sauce soja, un homme qui voit son pénis transformé en bâton de poisson ou encore une femme dont les oreilles se transforment en gyoza.
(Oui oui... Elle pleure bien de la sauce soja...Et l'autre a des ongles en piment...)
C'est absurde mais étrangement marrant.
Bien entendu, derrière tout cela, il y a toujours une histoire. Plus ou moins triste d'ailleurs.
Vous l'aurez compris, Kai byoui Ramune est une comédie fantastique qui vous fera rire ne serait-ce que par la personnalité de Ramune, ce médecin complètement what the fuck.
Cependant, j'ai été déçu par le design à la fois superbe par instant pour par la suite se voir complètement bâclé dés que les personnages se trouvent en arrière plan.
(C'est bien la même image... dupliquée 3 fois et même pas correctement en plus...)
On a l'habitude de ça avec les personnages qui ne sont pas importants et ne sont là que pour meubler une scène mais là, les charadesigner ont carrément lâché l'affaire quand il s'agit d'illustrer une scène sur laquelle il n'y a pas de gros plans...
Cet animé est tout de même de 2021, je trouve dommage de bâcler ce côté là.
Egalement, il n'y a pas réellement de fin.
Même si l'animé se clôture proprement.
Le manga est toujours en cours et ne compte que 5 volumes à l'heure actuelle alors ça peut se comprendre.
Je ne pense pas que la série appelle à une suite, à moins que le manga ne dévoile un peu plus sur le background de ce drôle de docteur, parce que finalement, nous n'en savons pas beaucoup sur lui.
C'est d'ailleurs dommage.
En somme, je conseille tout de même cet animé pour son côté divertissant et son personnage principal vraiment chouette mais ce n'est pas la meilleure adaptation que nous aura offert cette année.
Japon - Josei - 13 X 5 mins +18 ans
Et nous revoilà cette fois avec un Comic Festa ! (Et z'avez vu comme ça rime ?)
De tous ceux de la grande famille, qui tente encore de s'agrandir, je crois bien que c'est le plus chelou. Et celui également où la nana est la plus conne que je n'ai jamais vu. Outre que ses consoeurs ne brillent pas non plus par un libre arbitre de dingue, elle, elle est la championne du "J'accepte tout ce qui m'arrive alors que je n'ai absolument rien fait ! Et il est tout à fait normal qu'un maton abuse de moi, je n'ai rien le droit de dire".
Honnêtement, ils auraient pu se dispenser de lui donner une voix, une simple poupée de chiffon aurait suffit et ça aurait permis de faire des économies...
Qu'ils auraient pu balancer dans l'animation qui est à chier -_- (Alors que les dessins du manga sont vraiment superbes !)
(Roger ! J'ai trouvé mon nouveau jouet !)
L'histoire alors ! Parce que ouais, y'en a une...
Hina Saotome, notre héroïne, se trouve emprisonnée alors qu'elle est innocente. (Une histoire de trafic de fond ou je sais plus quoi. En même temps, vu sa dégaine, on se doute qu'elle n'est pas à la tête d'un cartel...).
Là-bas, Aki Myojin, décide qu'il va pouvoir enjailler ses journées en lui grimpant dessus à chaque minutes que Dieu fait.
Ah ! Et c'est une prison de haute sécurité.... Avec que des hommes....
Merde quand même... QU'EST-CE QU'ELLE FOUT LA ????
Je veux bien qu'on plante un décor destiné à quelque chose pour adulte mais faut pas déconner quand même... Un minimum de crédibilité ça n'aurait pas été du luxe.
Dans la vraie vie, une telle situation se produit, la meuf est démembrée à peine a-t-elle mit les pieds dans la prison... (Ce qui manque d'arriver d'ailleurs mais y'a Super Prisonnier qui veille . Car oui, y'a un autre petite bonhomme qui veut du "bien" à la demoiselle...)
(Faudrait voir à ce qu'il ne salisse pas ses gants hein...)
Bon, bien sûr, on apprend tout de même qu'il y a un motif à sa présence ici. Qu'ils n'ont pas décidé de l'envoyer dans ce coupe gorge pour la seule raison que la justice Japonaise a mal évalué le cas.
Mais bon... On l'aura compris, l'histoire est brouillon et tout simplement parce que ce n'est pas le but d'une telle "oeuvre" d'être captivante mais plutôt d'être "excitante". (Notez mes guillemets, chacun sa came...)
Néanmoins, si je ne me trompe pas, Amai choubatsu est le premier de la lignée. Les animations ne sont pas folles et je me suis vu à certains moment à éclater de rire.
Comme là par exemple :
(Oui, elle se carapate par les tuyaux d'aération et quand elle se retourne...)
J'ai pas pu m'empêcher de rire. Cette scène est épique.
Bon, chacun s'en doute, il la chope hein... Sans problème d'ailleurs. Et la ramène sans mal sur le plancher des vaches en deux secondes chrono alors que ces foutus tuyaux faut la taille de ses épaules !!! -_-
En bref, ce petit animé est une succession de scènes absurdes, de comportements aberrants, mais étrangement, on s'y attache à ce petit Aki parce que LUI il a une histoire et un background (Et un corps de rêve. Et un fouet aussi.)
La fin nous laisse même présager une suite mais qu'il faudra aller quérir auprès du manga, qui n'est pas sorti et ne sortira certainement jamais en France.
(C'est beau comment se développe le syndrome de Stockholm...)
Et nous revoilà cette fois avec un Comic Festa ! (Et z'avez vu comme ça rime ?)
De tous ceux de la grande famille, qui tente encore de s'agrandir, je crois bien que c'est le plus chelou. Et celui également où la nana est la plus conne que je n'ai jamais vu. Outre que ses consoeurs ne brillent pas non plus par un libre arbitre de dingue, elle, elle est la championne du "J'accepte tout ce qui m'arrive alors que je n'ai absolument rien fait ! Et il est tout à fait normal qu'un maton abuse de moi, je n'ai rien le droit de dire".
Honnêtement, ils auraient pu se dispenser de lui donner une voix, une simple poupée de chiffon aurait suffit et ça aurait permis de faire des économies...
Qu'ils auraient pu balancer dans l'animation qui est à chier -_- (Alors que les dessins du manga sont vraiment superbes !)
(Roger ! J'ai trouvé mon nouveau jouet !)
L'histoire alors ! Parce que ouais, y'en a une...
Hina Saotome, notre héroïne, se trouve emprisonnée alors qu'elle est innocente. (Une histoire de trafic de fond ou je sais plus quoi. En même temps, vu sa dégaine, on se doute qu'elle n'est pas à la tête d'un cartel...).
Là-bas, Aki Myojin, décide qu'il va pouvoir enjailler ses journées en lui grimpant dessus à chaque minutes que Dieu fait.
Ah ! Et c'est une prison de haute sécurité.... Avec que des hommes....
Merde quand même... QU'EST-CE QU'ELLE FOUT LA ????
Je veux bien qu'on plante un décor destiné à quelque chose pour adulte mais faut pas déconner quand même... Un minimum de crédibilité ça n'aurait pas été du luxe.
Dans la vraie vie, une telle situation se produit, la meuf est démembrée à peine a-t-elle mit les pieds dans la prison... (Ce qui manque d'arriver d'ailleurs mais y'a Super Prisonnier qui veille . Car oui, y'a un autre petite bonhomme qui veut du "bien" à la demoiselle...)
(Faudrait voir à ce qu'il ne salisse pas ses gants hein...)
Bon, bien sûr, on apprend tout de même qu'il y a un motif à sa présence ici. Qu'ils n'ont pas décidé de l'envoyer dans ce coupe gorge pour la seule raison que la justice Japonaise a mal évalué le cas.
Mais bon... On l'aura compris, l'histoire est brouillon et tout simplement parce que ce n'est pas le but d'une telle "oeuvre" d'être captivante mais plutôt d'être "excitante". (Notez mes guillemets, chacun sa came...)
Néanmoins, si je ne me trompe pas, Amai choubatsu est le premier de la lignée. Les animations ne sont pas folles et je me suis vu à certains moment à éclater de rire.
Comme là par exemple :
(Oui, elle se carapate par les tuyaux d'aération et quand elle se retourne...)
J'ai pas pu m'empêcher de rire. Cette scène est épique.
Bon, chacun s'en doute, il la chope hein... Sans problème d'ailleurs. Et la ramène sans mal sur le plancher des vaches en deux secondes chrono alors que ces foutus tuyaux faut la taille de ses épaules !!! -_-
En bref, ce petit animé est une succession de scènes absurdes, de comportements aberrants, mais étrangement, on s'y attache à ce petit Aki parce que LUI il a une histoire et un background (Et un corps de rêve. Et un fouet aussi.)
La fin nous laisse même présager une suite mais qu'il faudra aller quérir auprès du manga, qui n'est pas sorti et ne sortira certainement jamais en France.
(C'est beau comment se développe le syndrome de Stockholm...)
Films |
Japon - Comédie - 1h54
Quand le Japon s'inspire de l'Amérique.
1969, Nagasaki est "occupée" par une base militaire Américaine qui se sert de ses terres comme tremplin pour envoyer ses troupes vers le Vietnam.
Au milieu de tout cela, quelques ados rebelles et encore le mot est faible, qui ne rêvent que d'une chose, de rébellion face à un contrôle exacerbé de leur école sur tout ce qui fait leur adolescence.
Fan de rock américain, les Stones, Simon & Garfunkel, tout y passe !
Et qui dit Sixties, dit Woodstock !
L'objectif de tout ce bordel ?
Créer un festival comme on en fait aux États-Unis, avec du bon son, des nanas très peu vêtues et un bon coup de pied dans la vieille fourmilière qu'est le Japon de l'époque.
L'image que j'ai choisi plus haut n'est pas là pour rien. Elle illustre la première scène du film et donne parfaitement le ton. Les gamins ne sont pas en prison, mais ce grillage, qu'ils tentent avec peine de gravir, démontre parfaitement de ce dont traitera le film. Cette jeunesse nippone des années 60, bridées et enfermées dans une culture archaïque alors qu'ils commencent à découvrir ce que le monde, outre frontière , est capable de leur offrir.
Le film, outre dénoncer cette "violence" psychologique que l'on imposait (et c'est toujours plus ou moins le cas) aux jeunes japonais, à tenter de les forger à entrer parfaitement dans le moule que l'on aura spécialement conçu pour eux, il démontrera aussi que dans l'éducation, la violence physique était courante et malheureusement, presque normale.
(Quand je dis que le sport c'est dangereux... Et pas seulement le sport lui-même mais également ceux qui l'enseigne...)
Le film est vraiment super !
Ils s'en sont donnés à cœur joie.
Pas de tabous, pas de censure, ces gamins sont de vrais démons !
Bien que leurs intentions ne soient pas vraiment louables dans les premiers instants du film, désireux principalement de "s'éclater" comme tous gamins le voudraient, c'est leurs idéaux qu'ils finissent par vouloir défendre et ceux de leurs congénères bien trop "faibles" pour oser se défendre.
Bien entendu, histoire de donner un peu de douceur derrière cette motivation révolutionnaire d'envoyer valser un système oppresseur, ce qui motivent aussi nos minets, c'est de savoir ce qu'il se trame sous les jupes des filles. Hein ! Normal !
Novices mais les hormones en fusion, ça, on connait. Le sujet a été amplement exploité. Mais ici, il se marie parfaitement avec les autres motivations et on accueille avec plaisir leur connerie destinées à vouloir tremper leur biscuit.
Cela nous conduit à des situations hilarantes autant que d'autres pourront être malaisantes (Et je vous laisserai constater s'il vous dit de regarder ce film)
L'esthétique est parfaite, la musique se passe de mot et le cast absolument exceptionnel.
Bien sûr, chacun n'était encore qu'aux balbutiements de leurs carrières mais ils démontraient déjà le talent qui leur est propre.
Notre petit Ando national est d'ailleurs presque méconnaissable dans les premiers instants du film tant il est juste... parfait ?
Tout propret, intelligent, qui ne fait pas de vague, il devient rapidement l'énurgème que nous connaissons.
(Regardez comme il chou !)
En bref, vous l'aurez compris, j'ai vraiment passé un super moment !
Je conseille vraiment ce film, au moins une fois, il en vaut vraiment le coup
Quand le Japon s'inspire de l'Amérique.
1969, Nagasaki est "occupée" par une base militaire Américaine qui se sert de ses terres comme tremplin pour envoyer ses troupes vers le Vietnam.
Au milieu de tout cela, quelques ados rebelles et encore le mot est faible, qui ne rêvent que d'une chose, de rébellion face à un contrôle exacerbé de leur école sur tout ce qui fait leur adolescence.
Fan de rock américain, les Stones, Simon & Garfunkel, tout y passe !
Et qui dit Sixties, dit Woodstock !
L'objectif de tout ce bordel ?
Créer un festival comme on en fait aux États-Unis, avec du bon son, des nanas très peu vêtues et un bon coup de pied dans la vieille fourmilière qu'est le Japon de l'époque.
L'image que j'ai choisi plus haut n'est pas là pour rien. Elle illustre la première scène du film et donne parfaitement le ton. Les gamins ne sont pas en prison, mais ce grillage, qu'ils tentent avec peine de gravir, démontre parfaitement de ce dont traitera le film. Cette jeunesse nippone des années 60, bridées et enfermées dans une culture archaïque alors qu'ils commencent à découvrir ce que le monde, outre frontière , est capable de leur offrir.
Le film, outre dénoncer cette "violence" psychologique que l'on imposait (et c'est toujours plus ou moins le cas) aux jeunes japonais, à tenter de les forger à entrer parfaitement dans le moule que l'on aura spécialement conçu pour eux, il démontrera aussi que dans l'éducation, la violence physique était courante et malheureusement, presque normale.
(Quand je dis que le sport c'est dangereux... Et pas seulement le sport lui-même mais également ceux qui l'enseigne...)
Le film est vraiment super !
Ils s'en sont donnés à cœur joie.
Pas de tabous, pas de censure, ces gamins sont de vrais démons !
Bien que leurs intentions ne soient pas vraiment louables dans les premiers instants du film, désireux principalement de "s'éclater" comme tous gamins le voudraient, c'est leurs idéaux qu'ils finissent par vouloir défendre et ceux de leurs congénères bien trop "faibles" pour oser se défendre.
Bien entendu, histoire de donner un peu de douceur derrière cette motivation révolutionnaire d'envoyer valser un système oppresseur, ce qui motivent aussi nos minets, c'est de savoir ce qu'il se trame sous les jupes des filles. Hein ! Normal !
Novices mais les hormones en fusion, ça, on connait. Le sujet a été amplement exploité. Mais ici, il se marie parfaitement avec les autres motivations et on accueille avec plaisir leur connerie destinées à vouloir tremper leur biscuit.
Cela nous conduit à des situations hilarantes autant que d'autres pourront être malaisantes (Et je vous laisserai constater s'il vous dit de regarder ce film)
L'esthétique est parfaite, la musique se passe de mot et le cast absolument exceptionnel.
Bien sûr, chacun n'était encore qu'aux balbutiements de leurs carrières mais ils démontraient déjà le talent qui leur est propre.
Notre petit Ando national est d'ailleurs presque méconnaissable dans les premiers instants du film tant il est juste... parfait ?
Tout propret, intelligent, qui ne fait pas de vague, il devient rapidement l'énurgème que nous connaissons.
(Regardez comme il chou !)
En bref, vous l'aurez compris, j'ai vraiment passé un super moment !
Je conseille vraiment ce film, au moins une fois, il en vaut vraiment le coup
Japon - Comédie - 1h54
Alors... Commençons par le commencement.
J'attendais ce film avec une grande impatience...
Toute contente de ma trouvaille, j'en avais même informé Tchenss, qui m'a trouvé une version bien plus travaillée que celle que j'avais sous la main. Contrairement à elle, j'ai adoré l'animé et tout autant le manga.
Pour l'adaptation, elle m'a, de sa douce voix, susurré un "C'est de la merde par contre !".
Bon... forcée de me dire que l'œuvre originale n'avait pas touché son cœur, je me suis dit que c'était normal qu'elle n'aime pas le film.... Bah elle n'a jamais eu autant raison de toute sa vie.
Je suis encore sur le cul d'avoir perdu presque 2h de ma vie devant cette adaptation low-cost complètement à côté de l'œuvre originale !
Premièrement, pour ceux qui ne connaitraient pas, Wotakoi c'est quoi ?
C'est tout simplement un slice of life sur des otakus trentenaires qui bossent dans la même boîte et qui se lient d'amitié (Bien que certains se connaissent déjà du passé).
Il n'y a pas vraiment de trame, c'est juste des tribulations. Le manga d'ailleurs est constitué de plusieurs petites histoires tenant sur quelques pages et on comprend parfaitement que seuls quelques moments de la vie de ce quator et quelques personnages annexes, nous sera présenté.
Commençons par les qualités du film maintenant.
Les acteurs interprétant Narumi et Hirotaka sont juste parfaits dans leur rôle !
Je ne les aurai pas imaginé autrement.
Et ça, c'est suffisamment rare pour le souligner.
Notons qu'ils nous ont également épargné de teindre les cheveux des acteurs à outrance comme pourrait le laisser croire l'affiche.
Ils ont donc un aspect humain. Ouf !
Pour les qualités, voilà. On a le fait tour.....
Concernant les autres personnages.... attendez....
Mais où sont passés les autres personnages ?!?
Où est donc cette amitié hilarante entre Narumi et Hanako ???
Où est donc le personnage que j'aime tout particulièrement, Kabakura Tarô ????
Rassurez-moi, vous voyez bien 4 personnages sur cette fichue image ??
Leur présence est épisodique, seulement quelques instants.
Ils sont pires que secondaires !!!
Je veux bien que dans un film de deux heures on ne mette pas Naoya et Kô. Ca, je l'aurai toléré. Mais merde quoi !!!
Je suis navrée mais Wotaku ni koi wa muzukashii, c'est les tribulations du quator et pas seulement de Narumi et Hirotaka !
Leur absence se fait tellement sentir qu'ils ont été obligés de combler la lacune en nous faisant de ce film une FUCKING COMEDIE MUSICALE ! Et mauvaise de surcroit !!!
(Ouais... Toute une populasse vient de se taper quelques petits pas de danse...)
Alors je vous rappelle, j'adore les comédies musicales mais là....là....
J'ai pas les mots.
Fujita doit être en train de pleurer dans son appart.... (C'est l'auteure).
Pour quelqu'un n'ayant vu ni l'animé, ni le manga, je pense qu'il pourrait passer pour quelque chose de convenable.
Mais sans aller jusqu'à aimer l'oeuvre originale, on ne peut décemment pas passer à côté du fait que deux des rôles principaux sont tout bonnement absents et pour le coup, ça rend le tout merdique....
Je crois n'avoir jamais été plus déçue d'une adaptation.
Même le film de Black Butler trouvera plus de crédit à mes yeux à partir d'aujourd'hui, pour la bonne et simple raison que ce n'est pas une adaptation fidèle, mais une histoire "parallèle".
Là, on était bien sur un live action !
Mais je sais pas.... Il ne devait plus y avoir assez de papier pour écrire un scénar correct ou il était tout simplement trop dur de lire simplement le manga pour en faire une adaptation un tantinet fidèle.
J'ai hâte de voir une adaptation des Chevaliers du Zodiaque dans laquelle il n'y aurait que Pégase parce qu'OSEF des 87 autres !
Next !
(Perdre 2H de ta vie avec moi ? Check !)
Alors... Commençons par le commencement.
J'attendais ce film avec une grande impatience...
Toute contente de ma trouvaille, j'en avais même informé Tchenss, qui m'a trouvé une version bien plus travaillée que celle que j'avais sous la main. Contrairement à elle, j'ai adoré l'animé et tout autant le manga.
Pour l'adaptation, elle m'a, de sa douce voix, susurré un "C'est de la merde par contre !".
Bon... forcée de me dire que l'œuvre originale n'avait pas touché son cœur, je me suis dit que c'était normal qu'elle n'aime pas le film.... Bah elle n'a jamais eu autant raison de toute sa vie.
Je suis encore sur le cul d'avoir perdu presque 2h de ma vie devant cette adaptation low-cost complètement à côté de l'œuvre originale !
Premièrement, pour ceux qui ne connaitraient pas, Wotakoi c'est quoi ?
C'est tout simplement un slice of life sur des otakus trentenaires qui bossent dans la même boîte et qui se lient d'amitié (Bien que certains se connaissent déjà du passé).
Il n'y a pas vraiment de trame, c'est juste des tribulations. Le manga d'ailleurs est constitué de plusieurs petites histoires tenant sur quelques pages et on comprend parfaitement que seuls quelques moments de la vie de ce quator et quelques personnages annexes, nous sera présenté.
Commençons par les qualités du film maintenant.
Les acteurs interprétant Narumi et Hirotaka sont juste parfaits dans leur rôle !
Je ne les aurai pas imaginé autrement.
Et ça, c'est suffisamment rare pour le souligner.
Notons qu'ils nous ont également épargné de teindre les cheveux des acteurs à outrance comme pourrait le laisser croire l'affiche.
Ils ont donc un aspect humain. Ouf !
Pour les qualités, voilà. On a le fait tour.....
Concernant les autres personnages.... attendez....
Mais où sont passés les autres personnages ?!?
Où est donc cette amitié hilarante entre Narumi et Hanako ???
Où est donc le personnage que j'aime tout particulièrement, Kabakura Tarô ????
Rassurez-moi, vous voyez bien 4 personnages sur cette fichue image ??
Leur présence est épisodique, seulement quelques instants.
Ils sont pires que secondaires !!!
Je veux bien que dans un film de deux heures on ne mette pas Naoya et Kô. Ca, je l'aurai toléré. Mais merde quoi !!!
Je suis navrée mais Wotaku ni koi wa muzukashii, c'est les tribulations du quator et pas seulement de Narumi et Hirotaka !
Leur absence se fait tellement sentir qu'ils ont été obligés de combler la lacune en nous faisant de ce film une FUCKING COMEDIE MUSICALE ! Et mauvaise de surcroit !!!
(Ouais... Toute une populasse vient de se taper quelques petits pas de danse...)
Alors je vous rappelle, j'adore les comédies musicales mais là....là....
J'ai pas les mots.
Fujita doit être en train de pleurer dans son appart.... (C'est l'auteure).
Pour quelqu'un n'ayant vu ni l'animé, ni le manga, je pense qu'il pourrait passer pour quelque chose de convenable.
Mais sans aller jusqu'à aimer l'oeuvre originale, on ne peut décemment pas passer à côté du fait que deux des rôles principaux sont tout bonnement absents et pour le coup, ça rend le tout merdique....
Je crois n'avoir jamais été plus déçue d'une adaptation.
Même le film de Black Butler trouvera plus de crédit à mes yeux à partir d'aujourd'hui, pour la bonne et simple raison que ce n'est pas une adaptation fidèle, mais une histoire "parallèle".
Là, on était bien sur un live action !
Mais je sais pas.... Il ne devait plus y avoir assez de papier pour écrire un scénar correct ou il était tout simplement trop dur de lire simplement le manga pour en faire une adaptation un tantinet fidèle.
J'ai hâte de voir une adaptation des Chevaliers du Zodiaque dans laquelle il n'y aurait que Pégase parce qu'OSEF des 87 autres !
Next !
(Perdre 2H de ta vie avec moi ? Check !)
Japon - Thriller - 1h38 +18 ans
Alors pour commencer, ce film est vraiment très particulier.
Je pense que peu de gens sauront l'apprécier.
Il faut vraiment être adepte du genre.
L'histoire raconte la vie de Mitsui, un gars que tout le monde à toujours ignoré voire oublié, qui un jour, rencontre une jeune femme, la première depuis toujours à l'appeler par son nom.
Indéniablement, il en tombe amoureux.
11 ans plus tard, fidèle aux sentiments qu'il ressent pour elle, il décide de la retrouver et lorsque c'est le cas, il s'aperçoit qu'elle n'est plus que l'ombre d'elle même. Autant physiquement que mentalement. Il peine d'ailleurs à la reconnaître.
Toujours obsédé (Car c'est bien le mot...), il entre chez elle afin de connaître la raison de son mal-être et décide de se cacher sous son lit. (Je résume bien sûr. Il y de nombreuses étapes avant qu'il n'en arrive à ça...)
Le film ne se déroule pas 1h38 sous le lit de la nana hein !
J'vous rassure.
Il nous dévoile petit à petit, le passé de Mitsui et surtout, le présent de Chihiro, victime de violence conjugale. Il développe une réelle obsession pour elle au point qu'il en couvre ses murs et fabrique un mannequin à son effigie.
(Même Fan2 et Girls ne t'offraient pas des posters comme ça !)
Je tiens à prévenir que les scènes avec le mari sont absolument insoutenables.
S'il y a un pourri sur terre, c'est bien son fucking mari et la réalisation du film ne nous épargne rien.
Même moi j'ai par instant détourné le regard.
(Ceci messieurs dames, est ce que l'on appelle, un homme à abattre... A coup de pioche...)
Mitsui est un stalker.
On est conscient que ce qu'il fait est répréhensible mais pourtant, on s'attache à lui dès le début du film.
On le prend en pitié, on se sent étrangement en sécurité lorsque la caméra fait des gros plans sur son visage.
Et à d'autres moments, on le détestera au point de vouloir le frapper quand, en bon stalker qu'il est, il se contentera d'assister sans agir. Même si son visage témoigne clairement de son combat intérieur entre le fait de vouloir agir et celui de seulement contempler.
(Ca sera la seule dans le genre que je partagerai...)
La psychologie de ce film est dévastatrice quand on est plongé dedans.
Il y a peu de dialogue, nous sommes surtout à l'écoute de la voix laconique de Mitsui qui fait office de narrateur, nous détaillant ses sentiments, ses pensées, ses rêves, son passé.
On se sent presque mal de prendre plaisir à vouloir qu'il continue son jeu malsain mais on espère qu'il sauvera cette femme et qu'enfin, il aura sur lui le regard qu'il attend.
La fin alors, que je ne dévoilerai pas, si puisse être que chacun la comprenne, est incroyablement frustrante.
Elle m'a fait péter les plombs tant je ne voulais pas qu'elle se passe comme ça.
ON a enfin ce que l'on veut. IL a ce qu'il veut. Mais il vient de tout foutre en l'air. Pensant une nouvelle fois, bien agir.
Je ne sais pas si je doit conseiller ce film parce que c'est vraiment particulier mais je ne le déconseillerai certainement pas.
Sachez cependant qu'il faut vraiment être adepte de ce genre de film latent, où l'ambiance est glauque et induit au malaise.
Moi personnellement, je l'ai particulièrement aimé et j'adorerai pouvoir partager mon avis avec d'autres qui l'auront vu et surtout apprécié.
Ce n'est pas un film sujet à débat pour moi.
Soit on l'a adoré, soit on l'a détesté.
Ca s'arrête là.
Alors pour commencer, ce film est vraiment très particulier.
Je pense que peu de gens sauront l'apprécier.
Il faut vraiment être adepte du genre.
L'histoire raconte la vie de Mitsui, un gars que tout le monde à toujours ignoré voire oublié, qui un jour, rencontre une jeune femme, la première depuis toujours à l'appeler par son nom.
Indéniablement, il en tombe amoureux.
11 ans plus tard, fidèle aux sentiments qu'il ressent pour elle, il décide de la retrouver et lorsque c'est le cas, il s'aperçoit qu'elle n'est plus que l'ombre d'elle même. Autant physiquement que mentalement. Il peine d'ailleurs à la reconnaître.
Toujours obsédé (Car c'est bien le mot...), il entre chez elle afin de connaître la raison de son mal-être et décide de se cacher sous son lit. (Je résume bien sûr. Il y de nombreuses étapes avant qu'il n'en arrive à ça...)
Le film ne se déroule pas 1h38 sous le lit de la nana hein !
J'vous rassure.
Il nous dévoile petit à petit, le passé de Mitsui et surtout, le présent de Chihiro, victime de violence conjugale. Il développe une réelle obsession pour elle au point qu'il en couvre ses murs et fabrique un mannequin à son effigie.
(Même Fan2 et Girls ne t'offraient pas des posters comme ça !)
Je tiens à prévenir que les scènes avec le mari sont absolument insoutenables.
S'il y a un pourri sur terre, c'est bien son fucking mari et la réalisation du film ne nous épargne rien.
Même moi j'ai par instant détourné le regard.
(Ceci messieurs dames, est ce que l'on appelle, un homme à abattre... A coup de pioche...)
Mitsui est un stalker.
On est conscient que ce qu'il fait est répréhensible mais pourtant, on s'attache à lui dès le début du film.
On le prend en pitié, on se sent étrangement en sécurité lorsque la caméra fait des gros plans sur son visage.
Et à d'autres moments, on le détestera au point de vouloir le frapper quand, en bon stalker qu'il est, il se contentera d'assister sans agir. Même si son visage témoigne clairement de son combat intérieur entre le fait de vouloir agir et celui de seulement contempler.
(Ca sera la seule dans le genre que je partagerai...)
La psychologie de ce film est dévastatrice quand on est plongé dedans.
Il y a peu de dialogue, nous sommes surtout à l'écoute de la voix laconique de Mitsui qui fait office de narrateur, nous détaillant ses sentiments, ses pensées, ses rêves, son passé.
On se sent presque mal de prendre plaisir à vouloir qu'il continue son jeu malsain mais on espère qu'il sauvera cette femme et qu'enfin, il aura sur lui le regard qu'il attend.
La fin alors, que je ne dévoilerai pas, si puisse être que chacun la comprenne, est incroyablement frustrante.
Elle m'a fait péter les plombs tant je ne voulais pas qu'elle se passe comme ça.
ON a enfin ce que l'on veut. IL a ce qu'il veut. Mais il vient de tout foutre en l'air. Pensant une nouvelle fois, bien agir.
Je ne sais pas si je doit conseiller ce film parce que c'est vraiment particulier mais je ne le déconseillerai certainement pas.
Sachez cependant qu'il faut vraiment être adepte de ce genre de film latent, où l'ambiance est glauque et induit au malaise.
Moi personnellement, je l'ai particulièrement aimé et j'adorerai pouvoir partager mon avis avec d'autres qui l'auront vu et surtout apprécié.
Ce n'est pas un film sujet à débat pour moi.
Soit on l'a adoré, soit on l'a détesté.
Ca s'arrête là.
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